Elles s’appellent Touria, Dominique et Joséphine. Nées hommes en Polynésie française, elles sont devenues transsexuelles et prostituées à Marseille. Leur parcours est raconté dans un documentaire de Julian Ballester, « Rue Curiol », à voir ici.
La rue Curiol fut l’un des hauts lieux la prostitution marseillaise. Aujourd’hui en pleine rénovation, comme une bonne partie du centre ville de la cité phocéenne, cette artère proche de la célèbre Canebière n’accueille plus que des prostituées d’un certain âge, en majorité des anciennes, des indépendantes d’une autre époque.
Etudiant à Marseille pour un master « métiers du film documentaire », Julian Ballester a réalisé son travail de fin d’études sur trois d’entre elles, des transgenres, toutes polynésiennes, à la suite d’une approche d’une année, comme il l’a expliqué au site d’infos StreetPress. (Voir aussi le site internet du film ici).
Dans cet incroyable documentaire qui plonge au cœur de leur humanité, les prostituées se dévoilent en toute simplicité, à visage découvert. Elles racontent leur passé, leur motivation pour venir en France métropolitaine, parlent de leur identité. Certaines travaillent dans la rue Curiol depuis plus de vingt ans.
Etudiant à Marseille pour un master « métiers du film documentaire », Julian Ballester a réalisé son travail de fin d’études sur trois d’entre elles, des transgenres, toutes polynésiennes, à la suite d’une approche d’une année, comme il l’a expliqué au site d’infos StreetPress. (Voir aussi le site internet du film ici).
Dans cet incroyable documentaire qui plonge au cœur de leur humanité, les prostituées se dévoilent en toute simplicité, à visage découvert. Elles racontent leur passé, leur motivation pour venir en France métropolitaine, parlent de leur identité. Certaines travaillent dans la rue Curiol depuis plus de vingt ans.
REGARDEZ « Rue Curiol », un documentaire de Julian Ballester