"Le voyage" : nouveau clip de la chanteuse martiniquaise Erika Lernot

Le clip au titre éponyme extrait de l’album « Le Voyage » a été tourné dans les ruines des temples d’Angkor au Cambodge ainsi qu’au Cap-Vert, deux pays que la chanteuse Erika Lernot affectionne particulièrement. « Ce clip est le fruit d’un très long travail qui nous a pris deux ans, avec mon compagnon et compositeur Siam Lee, auquel je rends d’ailleurs hommage », explique l’artiste martiniquaise à La1ere.fr. « On s’est fait plaisir sur le plan artistique, tout en faisant en sorte que les images correspondent au morceau ».
 
Actuellement, Erika Lernot et Siam Lee préparent un nouvel album, prévu pour fin 2015 début 2016. « Nous travaillons sur le créatif, dans la continuité de la mise en musique de poésies. Il y aura une touche jazz et aussi brésilienne, avec des morceaux que j’ai composés là-bas. Il y aura de la nostalgie et plus de maturité dans les textes » précise Erika Lernot.
 
En attendant, le duo va s’envoler le mois prochain pour Pondichéry en Inde, afin de concrétiser des projets de résidence d'artiste et de concerts en collaboration avec l’Alliance et l’Institut français. « Nous sommes très motivés », s’enthousiasme la chanteuse, « c’est un autre décor, d’autres inspirations. Nous allons rencontrer des artistes locaux, voir des choses différentes. C’est ce que nous voulons avant tout, ne pas nous limiter ».
 

REGARDEZ la vidéo « Le Voyage » d’Erika Lernot et Siam Lee

Titre extrait de l'album "Le Voyage" (Erika Lernot / Siam Lee)
Images / Montage / Etalonnage : Siam Lee
Tournage : Temple d'Angkor (Cambodge) et Boa Vista (Cap Vert)
Production AWImusic : Manuel Mondésir / Siam Lee
www.erikalernot.com
 

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Cap-Vert, Brésil, Martinique, Guyane, Cambodge… Erika Lernot s’est nourrie de ses voyages. Spirituellement et musicalement. Il n’est qu’à voir le sourire qui l’éclaire quand elle évoque ses pérégrinations dans l’archipel du Cap-Vert ou parmi les vestiges des temples d’Angkor au Cambodge. « Mais je cultive toujours mes racines martiniquaises » souligne-t-elle. « Il y a toujours ce lien. C’est en se nourrissant de ses racines qu’on peut ensuite voir l’ailleurs ». (Lire la suite…)