Installés depuis la semaine dernière sur le Pont des Arts, à Paris, les Gouzous de Jace ont déjà été détériorés à coups de tags disgracieux. Les fresques de l’artiste réunionnais doivent rester jusqu’au mois d’octobre en remplacement des milliers de cadenas.
"Où sont les cadenas ?", la phrase est inscrite en grosses lettres noires sur les fresques de Jace. Installés la semaine dernière, les Gouzous ont déjà subi des détériorations sur le Pont des Arts, à Paris.
Sur le pont, les curieux ne sont pas surpris mais regrettent ces coups de bombes infligés aux Gouzous. "Les gens ne respectent vraiment rien", s’indigne une Parisienne.
Aux premiers jours de l’installation, des Parisiens s’inquiétaient déjà du futur des Gouzous. Les petits personnages de l’artiste réunionnais remplacent les milliers de cadenas installés par des couples d’amoureux du monde entier, mais retirés par la mairie.
Sur le pont, les curieux ne sont pas surpris mais regrettent ces coups de bombes infligés aux Gouzous. "Les gens ne respectent vraiment rien", s’indigne une Parisienne.
Aux premiers jours de l’installation, des Parisiens s’inquiétaient déjà du futur des Gouzous. Les petits personnages de l’artiste réunionnais remplacent les milliers de cadenas installés par des couples d’amoureux du monde entier, mais retirés par la mairie.