Selon le Parisien de ce mardi 11 août, la luxueuse villa Pamplemousse de Saint-Martin du couple Balkany a été vendue il y a quelques semaines. Patrick Balkany, et de son épouse sont poursuivis pour "blanchiment de fraude fiscale", "corruption" et "blanchiment de corruption".
La luxueuse villa Pamplemousse de Saint-Martin du député-maire Les Républicains de Levallois-Perret, Patrick Balkany, et son épouse, a été vendue. C’est une information du journal Le Parisien de ce mardi 11 août.
Les juges d’instruction parisiens Renaud van Ruymbeke et Patricia Simon, en charge du dossier dans lequel les époux Balkany sont mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale, ont décidé il y a quelques semaines d’ordonner la saisie de cette villa.
Parallèlement, la justice a également ordonné la saisie du moulin de Cossy, du couple, à Giverny dans l’Eure. L'avocat de Patrick Balkany, Grégoire Lafarge, a dénoncé dans le Parisien un "acharnement" de la justice.
Les juges d’instruction parisiens Renaud van Ruymbeke et Patricia Simon, en charge du dossier dans lequel les époux Balkany sont mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale, ont décidé il y a quelques semaines d’ordonner la saisie de cette villa.
Des aveux en 1997
Le couple a longtemps nié être propriétaire de cette luxueuse demeure aux Antilles. C’est au cours de l’instruction, lors de son placement en garde à vue en mai 2014, qu’Isabelle Balkany avait finalement avoué aux enquêteurs qu’elle possédait avec son mari la résidence Pamplemousse depuis 1997. L’origine des fonds utilisés pour l’achat de cette propriété n’est pas claire. Elle n’a pas été déclarée au fisc par les époux Balkany qui n’ont donc jamais payé l’impôt sur la fortune."Un acharnement"
D’après Le Parisien, le domicile des Antilles, évalué à 3 millions d’euros, aurait été saisi par la justice il y a quelques mois. Pas d’information en revanche sur le montant de la transaction ou l’identité du nouveau propriétaire.Parallèlement, la justice a également ordonné la saisie du moulin de Cossy, du couple, à Giverny dans l’Eure. L'avocat de Patrick Balkany, Grégoire Lafarge, a dénoncé dans le Parisien un "acharnement" de la justice.