Une rencontre est "vraisemblable" entre le pape François et Fidel Castro lors de la visite du pontife argentin dans quelques jours à La Havane, a déclaré mardi le porte-parole du Vatican, Federico Lombardi.
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"Une rencontre avec Fidel Castro est tout à fait vraisemblable, même si elle n'est pas inscrite pour le moment à un moment précis du programme" du pape, qui sera à Cuba de samedi à mardi, a déclaré le père Lombardi en conférence de presse.
Lors de sa venue au Vatican au printemps, le président cubain Raul Castro avait fait part du "désir" de son frère Fidel de rencontrer le pape, a expliqué le porte-parole. Le chef de la révolution cubaine avait déjà accueilli Jean Paul II en 1998 lors de la visite à Cuba du pape polonais. Et lors de la visite de Benoît XVI en 2012, une rencontre avait également eu lieu avec Fidel Castro.
Alors que le pape s'envole samedi pour Cuba et les Etats-Unis, le voyage le plus long et le plus délicat depuis son élection, le père Lombardi a écarté tout risque spécifique en matière de sécurité. "Nous n'avons pas de préoccupations particulières, le pape entend se déplacer librement. Il tient à ce que le contact avec les gens soit conservé", a-t-il affirmé. Dimanche, un élu américain a affirmé qu'une "menace" visant le pape avait été écartée par les autorités.
Lors de sa venue au Vatican au printemps, le président cubain Raul Castro avait fait part du "désir" de son frère Fidel de rencontrer le pape, a expliqué le porte-parole. Le chef de la révolution cubaine avait déjà accueilli Jean Paul II en 1998 lors de la visite à Cuba du pape polonais. Et lors de la visite de Benoît XVI en 2012, une rencontre avait également eu lieu avec Fidel Castro.
Alors que le pape s'envole samedi pour Cuba et les Etats-Unis, le voyage le plus long et le plus délicat depuis son élection, le père Lombardi a écarté tout risque spécifique en matière de sécurité. "Nous n'avons pas de préoccupations particulières, le pape entend se déplacer librement. Il tient à ce que le contact avec les gens soit conservé", a-t-il affirmé. Dimanche, un élu américain a affirmé qu'une "menace" visant le pape avait été écartée par les autorités.