C'est une association de policiers ultramarins, "GPX Outremer", qui s'inquiète. Elle souligne le nombre important de diffusion Outre-mer, sur les réseaux sociaux, de vidéos violentes ou pornographiques. Les victimes sont facilement identifiables, ce qui est encore plus préjudiciable. Explication.
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Le phénomène est connu, en métropole comme dans les Outre-mer : sur les réseaux sociaux, circulent des vidéos violentes, à caractère pornographique ou pédo-pornographique qui souvent, selon l'association de policiers ultramarins GPX Outremer "mettent en scène des adolescentes, ainsi que des femmes faciliement identifiables. Le plus souvent, ces dernières sont filmées à leur insu".
L'association de policiers collabore avec le député de Martinique Jean-Philippe Nilor qui a ainsi posé une question écrite à la ministre de la Justice, sur ce sujet :
De son coté, le député de Guadeloupe Eric Jalton avait déjà interrogé le gouvernement sur ce phénomène, en février 2014, obtenant une réponse du ministère de l'Education nationale sur la violence et les médias numériques en milieu scolaire. La question et la réponse sont à retrouver ici :
Difficile de prendre un nouveau départ
La difficulté supplémentaire Outre-mer, c'est qu'en raison de l'exiguité des départements et collectivités, "les cibles sont facilement identifiables. Pour ces adolescentes, pour ces femmes, prendre un nouveau départ après avoir fait l'objet de ce genre de buzz relève de l'exploit", explique GPX.L'association de policiers collabore avec le député de Martinique Jean-Philippe Nilor qui a ainsi posé une question écrite à la ministre de la Justice, sur ce sujet :
De son coté, le député de Guadeloupe Eric Jalton avait déjà interrogé le gouvernement sur ce phénomène, en février 2014, obtenant une réponse du ministère de l'Education nationale sur la violence et les médias numériques en milieu scolaire. La question et la réponse sont à retrouver ici :
Violence en milieu scolaire Jalton