L'ancien militaire polynésien âgé de 34 ans a été tué par arme blanche dans la nuit du 29 décembre. Son fils a souhaité qu'il soit enterré dans l'Hexagone. L'auteur du crime n'a toujours pas été retrouvé.
Angelo Opuu reposera finalement en France et non pas en Polynésie d'où était originaire cet ancien militaire de 34 ans, tué par arme blanche la nuit du 29 décembre au Mans dans l'ouest de la France. Le juge a donné raison à Marie-Rose Taata, l'ancienne compagne du Tahitien qui en avait fait la demande, car le fils d'Angelo souhaitait que son père soit inhumé dans l'Hexagone.
"La famille voulait rapatrier le corps d'Angelo. Il y a eu un désaccord. Je l'ai emmené devant la justice qui a tranché avec rapidité. C'est notre fils qui a décidé. Comme il est mineur, c'est moi qui le représente", a déclaré Marie-Rose Taata à Polynésie 1ère.
Angelo Opuu se trouvait dans la rue du Docteur Leroy, lieu connu pour ses bars et ses discothèques, lorsqu'il a été pris à partie par plusieurs hommes. Toutefois, les circonstances de ce drame restent encore floues. Le Polynésien suivait une formation en logistique et habitait au Mans depuis 2010. Originaire de Mataiea, l'homme était un ancien militaire du 2e Régiment d'Infanterie de Marine.
"La famille voulait rapatrier le corps d'Angelo. Il y a eu un désaccord. Je l'ai emmené devant la justice qui a tranché avec rapidité. C'est notre fils qui a décidé. Comme il est mineur, c'est moi qui le représente", a déclaré Marie-Rose Taata à Polynésie 1ère.
De l'ADN sur une bouteille de whisky
L'enquête n'a toujours pas permis de trouver qui était responsable du coup de couteau ni ses complices. Il y a quelques jours, plusieurs éléments, dont de l'ADN sur une bouteille de whisky, ont été retrouvés. Les bandes de vidéo-surveillance, bien que de qualité moyenne, devraient permettre aux enquêteurs d'identifier les trois suspects.Angelo Opuu se trouvait dans la rue du Docteur Leroy, lieu connu pour ses bars et ses discothèques, lorsqu'il a été pris à partie par plusieurs hommes. Toutefois, les circonstances de ce drame restent encore floues. Le Polynésien suivait une formation en logistique et habitait au Mans depuis 2010. Originaire de Mataiea, l'homme était un ancien militaire du 2e Régiment d'Infanterie de Marine.