Akésia est soulagée. Après le gymnase municipal et un hébergement d'urgence, cette Guadeloupéenne âgée de 25 ans et son conjoint ont enfin un toit pour élever leur fils de deux ans. Ils ont accepté une proposition de la mairie de Saint-Denis.
Jusqu’au 18 novembre dernier, ils vivaient au 48 rue de la République à Saint-Denis. Leur appartement se trouvait dans la même cour que celui des terroristes du 13 novembre. Après l’assaut du RAID, tous les habitants ont étés évacués. Les bâtiments sont, depuis, inhabitables.
Mardi 12 janvier, Akesia et son conjoint ont été autorisés à récupérer leurs affaires dans leur studio. Un déménagement qu'ils ont dû faire dans le noir, les fenêtres ayant été condamnées. C'est donc à la lampe torche qu'ils ont dû rassembler, tant bien que mal, leurs affaires les plus chères.
Regardez le reportage d'Angélique Le Bouter, Olivier Duflo et Raël Moine :
Certains des voisins d'Akésia vivent toujours à l'hôtel, dans l'attente d'une solution de relogement plus durable. Tous appellent à une marche lundi 18 janvier à 17h30 à Saint-Denis, afin de ne pas être oubliés.
Mardi 12 janvier, Akesia et son conjoint ont été autorisés à récupérer leurs affaires dans leur studio. Un déménagement qu'ils ont dû faire dans le noir, les fenêtres ayant été condamnées. C'est donc à la lampe torche qu'ils ont dû rassembler, tant bien que mal, leurs affaires les plus chères.
Regardez le reportage d'Angélique Le Bouter, Olivier Duflo et Raël Moine :
Certains des voisins d'Akésia vivent toujours à l'hôtel, dans l'attente d'une solution de relogement plus durable. Tous appellent à une marche lundi 18 janvier à 17h30 à Saint-Denis, afin de ne pas être oubliés.