Quatre-vingt-dix scouts partis de la France entière sont venus à Saint-Martin prêter main forte pendant près d'un mois à plusieurs associations pour la reconstruction de l'île, dix mois après l'ouragan Irma.
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C'est la première fois qu'autant de Scouts et Guides de France viennent dans la collectivité. Ces jeunes gens de 18 ou 19 ans, qui ont financé par eux-mêmes le voyage, participent à des chantiers dans différents domaines, environnement, reconstruction, ou animation auprès des enfants.
"On veut aider les habitants et les jeunes aussi. Et puis dépolluer les plages pour redonner une belle image aux touristes", explique l'un d'eux, Victor. Route du Galion notamment, les scouts ont pour mission d'enlever les petits déchets, mais dans la mangrove, ils trouvent de tout, du bois, des tôles et des poutres de plusieurs mètres. Ces scouts n'ont pas peur d'aller mettre les pieds dans la vase pour aller chercher les débris qui sont à moitié enfoncés ou accrochés dans les branchages d'une mangrove définitivement morte.
"On est surpris que certains endroits n'aient pas bougé depuis l'ouragan", témoigne Tanguy. Méline ne s'attendait pas "à autant de pollution et d'arbres arrachés" et "il faudra des années" pour en venir à bout.
Au Conservatoire du littoral, on est "ravi d'avoir des bénévoles qui viennent aider" à l'enlèvement des déchets.
"On veut aider les habitants et les jeunes aussi. Et puis dépolluer les plages pour redonner une belle image aux touristes", explique l'un d'eux, Victor. Route du Galion notamment, les scouts ont pour mission d'enlever les petits déchets, mais dans la mangrove, ils trouvent de tout, du bois, des tôles et des poutres de plusieurs mètres. Ces scouts n'ont pas peur d'aller mettre les pieds dans la vase pour aller chercher les débris qui sont à moitié enfoncés ou accrochés dans les branchages d'une mangrove définitivement morte.
"On est surpris que certains endroits n'aient pas bougé depuis l'ouragan", témoigne Tanguy. Méline ne s'attendait pas "à autant de pollution et d'arbres arrachés" et "il faudra des années" pour en venir à bout.
Au Conservatoire du littoral, on est "ravi d'avoir des bénévoles qui viennent aider" à l'enlèvement des déchets.