En 2020, le groupe fête ses 45 ans d’existence, et continue de sillonner la planète pour interpréter ses plus grands succès. Les archives d’Outre-mer vous proposent de revivre des moments forts de leur longue carrière.
La Compagnie créole, le groupe ultramarin le plus connu après Kassav, passe les décennies avec merveille. Tout le monde connaît au moins une chanson de La Compagnie créole, ce groupe fondé en 1975, par Clémence Bringtown, José Sébéloué, Guy Bévert, Julien Tarquin et Arthur Apatout (qui ne fait plus partie du groupe aujourd’hui). Ses membres sont originaires de Martinique, de Guadeloupe et de Guyane. Cette année-là, le groupe sort son premier album Ba mwen en ti bo, suivi en 1982 de l’album Blogodo.
C’est en 1983, grâce à leur tube C’est bon pour le moral extrait de l’album le Vive le Douanier Rousseau que le groupe accède à la notoriété. De 1984 à 1987, paraissent d'autres tubes, comme Le Bal masqué, Ça fait rire les oiseaux et Ma première biguine-partie.
Regardez ce reportage diffusé le 19 janvier 1999 dans le magazine Okoma et réalisé par M. De Bohan :
C’est en 1983, grâce à leur tube C’est bon pour le moral extrait de l’album le Vive le Douanier Rousseau que le groupe accède à la notoriété. De 1984 à 1987, paraissent d'autres tubes, comme Le Bal masqué, Ça fait rire les oiseaux et Ma première biguine-partie.
La Compagnie créole s'invite dans l'émission Mascarines
En 1991, Claudy Siar, alors présentateur de la rubrique musicale dans l’émission Mascarines nous invite à la rencontre de La Compagnie créole, à l’occasion d’une interview conviviale et décontractée.Regardez un extrait de l’émission Mascarines (RFO, Juin 1991) :
Rencontre à cœur ouvert avec José Sébéloué
Né à Ouanary en Guyane, José Sébéloué est installé depuis 26 ans dans l'Hexagone. Avec ses instruments, chaque fois qu’il le peut, il retrouve les rythmes de la Guyane. En 1999, rencontre en toute simplicité avec le chanteur, guitariste et percussionniste du groupe, qui malgré la grisaille parisienne, réchauffe les cœurs avec son instrument de prédilection, le tambour.Regardez ce reportage diffusé le 19 janvier 1999 dans le magazine Okoma et réalisé par M. De Bohan :