Six cents personnes vont perdre leur emploi dans les prochains mois après la disparition de la marque en Australie et en Nouvelle-Zélande.
Le constructeur automobile américain, General Motors, a annoncé lundi la fin de la marque de voitures australienne Holden avec la liquidation dans les prochains mois des activités d'ingénierie, de conception et de vente.
Citant des "circonstances difficiles" et des "discussions multiples" avec le siège social de General Motors aux États-Unis, Kristian Aquilina le directeur général pour les opérations de GM Holden en Australie a déclaré que la décision de fermer était une "réalité incontournable". Le coût, pour GM du passage à la transition vers des véhicules électriques signifie qu'il doit tailler dans ses actifs les moins rentables. Et la marque australienne en a fait les frais.
Créée en 1908, Holden avait sorti la première voiture produite en série en Australie, devenant une marque emblématique pour le pays pendant plusieurs décennies. En 2017, la filiale australienne de General Motors (GM) depuis 1931, avait, après ses concurrents Ford et Toyota, annoncé la délocalisation de sa production, mettant ainsi fin à la fabrication automobile dans le pays. Julian Blissett, le premier vice-président responsable des activités à l'international de GM, a expliqué que le constructeur américain avait fait le constat qu'il n'était pas en mesure de réaliser "l'investissement significatif" nécessaire pour que Holden soit compétitif et rentable sur le long terme. "Avec la fusion sur le plan international de l'industrie automobile, il devient de plus en plus difficile pour nous de soutenir une marque et une entreprise qui n'est implantée que sur deux marchés", a-t-il expliqué à l'AFP.
General Motors a précisé qu'il continuerait, pendant au moins dix ans, à garantir le service après-vente ainsi que l'entretien et l'échange des pièces détachées aux propriétaires de Holden. Avec 1,6 million de voitures Holden toujours en circulation, environ 200 personnes devraient conserver leur travail.
Citant des "circonstances difficiles" et des "discussions multiples" avec le siège social de General Motors aux États-Unis, Kristian Aquilina le directeur général pour les opérations de GM Holden en Australie a déclaré que la décision de fermer était une "réalité incontournable". Le coût, pour GM du passage à la transition vers des véhicules électriques signifie qu'il doit tailler dans ses actifs les moins rentables. Et la marque australienne en a fait les frais.
Créée en 1908, Holden avait sorti la première voiture produite en série en Australie, devenant une marque emblématique pour le pays pendant plusieurs décennies. En 2017, la filiale australienne de General Motors (GM) depuis 1931, avait, après ses concurrents Ford et Toyota, annoncé la délocalisation de sa production, mettant ainsi fin à la fabrication automobile dans le pays. Julian Blissett, le premier vice-président responsable des activités à l'international de GM, a expliqué que le constructeur américain avait fait le constat qu'il n'était pas en mesure de réaliser "l'investissement significatif" nécessaire pour que Holden soit compétitif et rentable sur le long terme. "Avec la fusion sur le plan international de l'industrie automobile, il devient de plus en plus difficile pour nous de soutenir une marque et une entreprise qui n'est implantée que sur deux marchés", a-t-il expliqué à l'AFP.
General Motors a précisé qu'il continuerait, pendant au moins dix ans, à garantir le service après-vente ainsi que l'entretien et l'échange des pièces détachées aux propriétaires de Holden. Avec 1,6 million de voitures Holden toujours en circulation, environ 200 personnes devraient conserver leur travail.