La judoka martiniquaise Emilie Andéol a trouvé un emploi, au lendemain de son témoignage poignant dans les colonnes du Parisien. La championne olympique de judo à Rio en 2016 expliquait être au chômage et dans "la galère". En réaction à sa situation, un élan de solidarité s'est mis en place.
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Elle l'a annoncé sur les réseaux sociaux ce mercredi 4 décembre. Emilie Andeol a trouvé un emploi. "Je vais continuer ce combat en m'occupant de la Fondation Ippon Technologies qui lutte contre la fracture numérique et la précarité de nos sportifs", explique la médaillée d'or à Rio. Une bonne nouvelle après le coup de gueule poussé dans les colonne du Parisien de mardi.
Stéphane Nomis a proposé à la judoka, retraitée de sa discipline, de travailler pour sa fondation pour le Pacte de performance qui vise à soutenir les sportifs olympiques et paralympiques français. Créée en 2016, elle vise à réduire la fracture numérique.
Mais ce mercredi, Emilie Andeol "entrevoit le bout du tunnel" après avoir reçu "plein de témoignages de sportifs qui sont passés par là."
Stéphane Nomis a proposé à la judoka, retraitée de sa discipline, de travailler pour sa fondation pour le Pacte de performance qui vise à soutenir les sportifs olympiques et paralympiques français. Créée en 2016, elle vise à réduire la fracture numérique.
Coup de gueule et solidarité
18 mois après avoir pris sa retraite sportive, la Martiniquaise avait poussé, mardi, un coup de gueule. Au chômage, elle disait presque regretter d'avoir été championne olympique tant la chute a été difficile.Mais ce mercredi, Emilie Andeol "entrevoit le bout du tunnel" après avoir reçu "plein de témoignages de sportifs qui sont passés par là."
Je ne suis pas un cas isolé ! Continuez à m'envoyer vos propositions afin que je puisse les transférer à d'autres sportifs.
-- Emilie Andéol