L'ancienne ministre de la justice, Christiane Taubira a gardé ses quatre officiers de sécurité. Une faveur qui, jusqu'ici, était accordée aux seuls anciens présidents de la République, Premiers ministres et ministres de l'Intérieur. Eux seuls bénéficient d’une protection à vie.
Selon un indiscret du Point, Christiane Taubira a gardé à ses côtés "quatre officiers de sécurité" depuis son départ de la place Vendôme. Une information nuancée par l'entourage de l'ancienne ministre qui précise "Ce ne sont pas quatre policiers en permanence mais deux et deux pour assurer une protection H24" et qui ajoute "Quand elle est à l'étranger, ces policiers sont réaffectés à d'autres missions temporaires."
"Ce n'est pas une faveur…La menace la concernant (évaluée de 1 à 6) a été réévaluée à 3 après son départ du ministère et elle subit encore régulièrement des menaces. La haine la concernant n'a pas disparu", explique son entourage pour justifier cette protection policière dont bénéficient également de nombreux anciens ministres de l'Intérieur que "personne ne reconnaît dans la rue".
La place Beauvau affirme cependant au Point que cette protection de Christiane Taubira "n’est que temporaire". Et la principale intéressée, alors que le coût de cette protection rapprochée était estimée en 2010 par la Cour des comptes à 71.879€ par an, d’indiquer qu’il faut interroger "ceux qui prennent la décision de (lui) attribuer cette protection".
"Ce n'est pas une faveur…La menace la concernant (évaluée de 1 à 6) a été réévaluée à 3 après son départ du ministère et elle subit encore régulièrement des menaces. La haine la concernant n'a pas disparu", explique son entourage pour justifier cette protection policière dont bénéficient également de nombreux anciens ministres de l'Intérieur que "personne ne reconnaît dans la rue".
La place Beauvau affirme cependant au Point que cette protection de Christiane Taubira "n’est que temporaire". Et la principale intéressée, alors que le coût de cette protection rapprochée était estimée en 2010 par la Cour des comptes à 71.879€ par an, d’indiquer qu’il faut interroger "ceux qui prennent la décision de (lui) attribuer cette protection".