Les conséquences du cyclone Maria se font sentir sur la programmation culturelle de la Guadeloupe, et notamment sur la saison de L’Artchipel. La scène nationale a dû reporter les concerts et pièces de théâtre prévus dans la grande salle de spectacle à cause des infiltrations d’eau.
Le directeur général de l'Artchipel Gérard Poumaroux a pris contact avec l'Association des scènes nationales pour que les deux résidences d’artistes planifiées en 2018 soient accueillies dans l’Hexagone. Fabienne Loir, la secrétaire générale, a trouvé un début de solution : "On a essayé de mettre en place une solidarité au sein du réseau, on a donc fait un appel par la voie d'un journal interne. C'est ainsi que le Théâtre 71, qui a un lieu de résidence, "La fabrique des arts", sur Malakoff pourra accueillir une résidence pendant un mois."
Le chorégraphe guadeloupéen associé à la scène nationale de Basse-Terre Léo Lérus sera reçu dans la ville des Hauts-de-Seine du 20 février au 22 mars. "Le créneau prévu par la Guadeloupe correspondait à un moment où, par miracle, nous avions des disponibilités, se réjouit Pierre-François Roussillon, le directeur du Théâtre 71. Les dépenses de transport et de logement seront couvertes par l'Artchipel car ça n'était pas à notre budget prévisionnel. Et nous mettrons notre espace à disposition gracieusement."
Reste donc à trouver une structure pour une chanteuse qui devait bénéficier d'une résidence de création. "On cherche, confirme Fabienne Loir. On a sollicité en priorité les scènes nationales de région parisienne. Sinon on élargira à l'ensemble du réseau qui compte 69 salles dans l'Hexagone."
Le chorégraphe guadeloupéen associé à la scène nationale de Basse-Terre Léo Lérus sera reçu dans la ville des Hauts-de-Seine du 20 février au 22 mars. "Le créneau prévu par la Guadeloupe correspondait à un moment où, par miracle, nous avions des disponibilités, se réjouit Pierre-François Roussillon, le directeur du Théâtre 71. Les dépenses de transport et de logement seront couvertes par l'Artchipel car ça n'était pas à notre budget prévisionnel. Et nous mettrons notre espace à disposition gracieusement."
Reste donc à trouver une structure pour une chanteuse qui devait bénéficier d'une résidence de création. "On cherche, confirme Fabienne Loir. On a sollicité en priorité les scènes nationales de région parisienne. Sinon on élargira à l'ensemble du réseau qui compte 69 salles dans l'Hexagone."