Entre 300 et 400 nouveaux cas de dengue sont enregistrés chaque semaine à la Réunion. Depuis janvier et le début de l'épidémie, 4.604 cas ont été confirmés.
•
L'épidémie de dengue, qui a débuté début janvier à La Réunion, ne faiblit pas malgré l'hiver austral, avec 4.604 cas de dengue confirmés depuis le début de l'année, et une moyenne de 300 à 400 nouveaux cas par semaine, a indiqué la préfecture mardi. *
La dengue est transmise à l'homme par l'albopictus, communément appelé moustique tigre en raison de ses rayures. La préfecture précise que les opérations de démoustication sont réalisées "autour du domicile des personnes malades signalées par les médecins ou les laboratoires, et dans les zones connues de circulation du virus", afin de "réduire les populations de moustiques adultes dans ces zones et ainsi d'éliminer des moustiques déjà infectés ou susceptibles de le devenir", une fois avoir piqué une personne malade.
Dans les zones moins étendues ou encore peu impactées, "les traitements en porte à porte de jour" sont menés en journée dans les cours et jardins des particuliers grâce à des appareils de pulvérisation portés à dos.
Entre 300 et 400 nouveaux cas par semaine
"L'épidémie se poursuit dans l'ouest et le sud à un niveau constant, toujours aux alentours de 300 à 400 cas par semaine", explique la préfecture dans un communiqué. "La mobilisation de tous est nécessaire durant l'hiver austral pour freiner cette dynamique et éviter une épidémie de plus grande ampleur au cours de l'été prochain", ajoute-t-elle.La dengue est transmise à l'homme par l'albopictus, communément appelé moustique tigre en raison de ses rayures. La préfecture précise que les opérations de démoustication sont réalisées "autour du domicile des personnes malades signalées par les médecins ou les laboratoires, et dans les zones connues de circulation du virus", afin de "réduire les populations de moustiques adultes dans ces zones et ainsi d'éliminer des moustiques déjà infectés ou susceptibles de le devenir", une fois avoir piqué une personne malade.
Opérations anti-moustiques
Dans les zones de circulation virale les plus actives de l'île, notamment sur Saint-Paul, "les opérations de pulvérisation spatiale de nuit", menées grâce à des appareils de pulvérisation insecticides montés sur des véhicules pick-up, "sont dorénavant privilégiées compte tenu du nombre important de cas de dengue et donc de l'impossibilité d'intervenir individuellement et systématiquement auprès de chaque cas", précise la préfecture.Dans les zones moins étendues ou encore peu impactées, "les traitements en porte à porte de jour" sont menés en journée dans les cours et jardins des particuliers grâce à des appareils de pulvérisation portés à dos.