Inspirée des contes et légendes de Wallis-et-Futuna, la série Foha Tau est née dans la tête du jeune réalisateur Anthony Taitusi, un enfant du fenua. C'est la toute première série consacrée à l'archipel et tournée sur place. La saga compte, pour le moment, trois épisodes de 60 minutes.
Foha Tau, c’est le "guerrier" en wallisien. C’est aussi le titre d’une nouvelle série basée sur les aventures d’un jeune polynésien, perdu et agonisant au milieu du Pacifique Sud et qui obtient une chance de survivre à son périple. "Cette chance s'appelle l'île d’Uvea (Wallis) dont la beauté lui fait espérer un avenir meilleur que celui qui se présageait pour lui au départ", peut-on lire sur le site consacré à la série.
Cette saga a été imaginée par Anthony Taitusi, un enfant de Wallis-et-Futuna. Il est le premier réalisateur wallisien diplômé d’une école, l’EICAR, l’École internationale de création audiovisuelle et de réalisation, située en région parisienne. A la fin de son cursus, le jeune homme crée, avec Audren et Belgacem, deux camarades, la société de production Cinémata Fims. Il rentre ensuite à Wallis-et-Futuna avec l’intention de faire des films sur son archipel.
Le tournage du troisième épisode s’est achevé en novembre 2016, mais Anthony souhaite poursuivre l’aventure. S’il trouve les aides nécessaires pour financer son projet, il aimerait proposer une saison de 10 épisodes. Regarder le reportage de France Ô et Wallis-et-Futuna 1ère :
Un DVD du 1er épisode "La Promesse d’une île" est disponible à la vente sur le site internet de la série
Cette saga a été imaginée par Anthony Taitusi, un enfant de Wallis-et-Futuna. Il est le premier réalisateur wallisien diplômé d’une école, l’EICAR, l’École internationale de création audiovisuelle et de réalisation, située en région parisienne. A la fin de son cursus, le jeune homme crée, avec Audren et Belgacem, deux camarades, la société de production Cinémata Fims. Il rentre ensuite à Wallis-et-Futuna avec l’intention de faire des films sur son archipel.
A la recherche de financements
Pendant deux ans, Anthony travaille sur sa série. Aucun décor, aucun accessoire et des acteurs qui n’ont jamais fait de cinéma... tout est à faire, le défi est grand. Mais le réalisateur wallisien a su mobiliser les habitants de l’archipel pour mener à bien son projet. Et il peut compter sur l’aide de ses deux amis rencontrés à l’EICAR. C’est ensemble qu’ils produisent la trilogie. Tournées au fenua, les images sont ensuite envoyées à Paris pour la post-production.Le tournage du troisième épisode s’est achevé en novembre 2016, mais Anthony souhaite poursuivre l’aventure. S’il trouve les aides nécessaires pour financer son projet, il aimerait proposer une saison de 10 épisodes. Regarder le reportage de France Ô et Wallis-et-Futuna 1ère :
Un DVD du 1er épisode "La Promesse d’une île" est disponible à la vente sur le site internet de la série