Trente-six rescapés des attentats du 13 novembre à Paris participent, en Guadeloupe, à un essai clinique autour de la plongée sous-marine. Après 2 semaines de thérapie, certains confient avoir réussi à dompter des angoisses liées à leur choc post-traumatique.
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Guérir les blessures de l’âme grâce à la méditation sous-marine. C’est l’objectif de cet essai clinique qui vise à améliorer la vie de trente-six victimes de l’attentat du Bataclan. Accompagnés par deux médecins, elles testent une nouvelle thérapie mêlant plongée sous-marine et méditation.
Pour réaliser cette étude, les scientifiques ont choisi un environnement sécurisant, la réserve Cousteau à Bouillante en Guadeloupe où la profondeur est limitée et la visibilité excellente. Regardez le reportage de Guadeloupe 1ère :
En quête d’une paix intérieure
À plus de 10 mètres de profondeur, ces plongeurs occasionnels sont immergés dans un autre univers, loin du bruit et des souvenirs oppressants. "On est passés de l’enfer au paradis", confie Fanny, à peine remontée à la surface. Plongée après plongée, la jeune femme semble avoir réussi à appréhender ses angoisses.Pour réaliser cette étude, les scientifiques ont choisi un environnement sécurisant, la réserve Cousteau à Bouillante en Guadeloupe où la profondeur est limitée et la visibilité excellente. Regardez le reportage de Guadeloupe 1ère :