Sony Roset a 25 ans, et participera le 17 février à la finale du concours Top model Europe à Bruxelles. Un long processus pour ce Guadeloupéen, qui a débuté par une sélection sur photo en octobre 2016 ! Rencontre sur un shooting, cette semaine à La Défense.
Sony prend la pose, il écoute les directives du photographe. Dans le milieu depuis quatre ans, il n’en est pas à sa première séance photo. C’est au Mans que le jeune homme s’est lancé dans le milieu de la mode. Et ce sont ses sœurs qui lui parlent du concours Top model Europe en 2016. Sélectionné sur clichés, il passera le casting et la demi-finale, s’installant à Paris pour véritablement lancer sa carrière.
Sur 8000 participants, 80 sont encore en lice. Mais Sony a déjà été repéré. Il a participé à la Fashion week de Belgique, et enchaîne les défilés et séances photo, en parallèle de son emploi dans une enseigne de prêt-à-porter. Ce concours lui a apporté beaucoup : « Ce qui est bien c’est qu’on n’a pas besoin d’attendre la finale ou de gagner pour décrocher des contrats ou des contacts avec des stylistes. On nous a formés à bien marcher sur le catwalk. C’est vraiment la base pour réussir sur un défilé, et je me sens beaucoup plus à l’aise. »
Sur le parvis de la Défense, le Guadeloupéen se fait ambassadeur de la première collection masculine de la créatrice antillaise Ayden. « Glam ethnik » existe depuis dix ans, et pour les collections city et vibration créole, le madras croise le jean brut, le kenté s’accorde au daim, et le wax à la dentelle. « Sony a une allure, pour Ayden, et il incarne bien le métissage de nos îles. Il a la fois l’indianité, des traits qui peuvent rappeler les Peuls en Afrique, et en même temps il a cette classe à la parisienne. J’espère qu’il sera promis à une belle carrière internationale. »
Le mannequin vient de signer dans une agence. « J’aimerai vraiment voyager dans plusieurs pays. L’idéal pour moi serait d’avoir plusieurs agences en Europe et en Amérique. » Gagner le concours serait la cerise sur le gâteau. « Le but, le jour de la finale, sera d’être le plus décontracté possible. Que cela soit une fête. Je vais appliquer les consignes et j’espère être dans le top 10. » Sony veut rendre fiers les siens qui viendront l’encourager à Bruxelles.
Sur 8000 participants, 80 sont encore en lice. Mais Sony a déjà été repéré. Il a participé à la Fashion week de Belgique, et enchaîne les défilés et séances photo, en parallèle de son emploi dans une enseigne de prêt-à-porter. Ce concours lui a apporté beaucoup : « Ce qui est bien c’est qu’on n’a pas besoin d’attendre la finale ou de gagner pour décrocher des contrats ou des contacts avec des stylistes. On nous a formés à bien marcher sur le catwalk. C’est vraiment la base pour réussir sur un défilé, et je me sens beaucoup plus à l’aise. »
Sur le parvis de la Défense, le Guadeloupéen se fait ambassadeur de la première collection masculine de la créatrice antillaise Ayden. « Glam ethnik » existe depuis dix ans, et pour les collections city et vibration créole, le madras croise le jean brut, le kenté s’accorde au daim, et le wax à la dentelle. « Sony a une allure, pour Ayden, et il incarne bien le métissage de nos îles. Il a la fois l’indianité, des traits qui peuvent rappeler les Peuls en Afrique, et en même temps il a cette classe à la parisienne. J’espère qu’il sera promis à une belle carrière internationale. »
Le mannequin vient de signer dans une agence. « J’aimerai vraiment voyager dans plusieurs pays. L’idéal pour moi serait d’avoir plusieurs agences en Europe et en Amérique. » Gagner le concours serait la cerise sur le gâteau. « Le but, le jour de la finale, sera d’être le plus décontracté possible. Que cela soit une fête. Je vais appliquer les consignes et j’espère être dans le top 10. » Sony veut rendre fiers les siens qui viendront l’encourager à Bruxelles.
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