Ce cri de contestation, slogan des manifestants en Guyane est également devenu à la fois un cri de ralliement, de soutien et d'expression du mécontentement des internautes guyanais.
Le slogan du collectif des 500 frères est presque devenu un cri de ralliement. En Guyane, les mots sont scandés par une foule en colère. Sur le web, c'est sous un mot clé, #noubonkesa, soit: "Nous en avons marre de ça" .
En plus du hashtag #Guyane, très utilisé sur Twitter, sous lequel on retrouve toutes les informations concernant la situation dans le département français d'Amérique du sud, #noubonkesa recense lui tous les motifs de ras-le-bol des Guyanais.
Que ce soit pour dénoncer le décalage entre le Centre spatial guyanais et la pauvreté dans laquelle vit une partie de la population en Guyane...
Un tweet qui intervient en réponse à celui du journaliste Jean-Michel Aphatie qui qualifiait les manifestants cagoulés de "honte pour la République"
C'est également ce mot-clé qui est utilisé pour se réjouir de voir le drapeau de la Guyane flotter devant le siège de la Collectivité territoriale de Guyane
On le retourve beaucoup pour encourager les manifestants, après une semaine de barrages et au premier jour de grève générale.
Les Guyanais de l'Hexagone, nombreux à s'être mobilisés dans les grandes villes, ont également publié de nombreuses vidéos Facebook sous ce hashtag, comme ici lors de ce rassemblement au Blanc-Mesnil (93) samedi 25 mars.
En plus du hashtag #Guyane, très utilisé sur Twitter, sous lequel on retrouve toutes les informations concernant la situation dans le département français d'Amérique du sud, #noubonkesa recense lui tous les motifs de ras-le-bol des Guyanais.
Que ce soit pour dénoncer le décalage entre le Centre spatial guyanais et la pauvreté dans laquelle vit une partie de la population en Guyane...
#Guyane @jmaphatie pour info rien n'a changé depuis mitterand les fusées decolle toujours sur fond de bidonville #noubonkesa pic.twitter.com/HuNhDdSQKp
— Tibtib973 (@tibtib973) 27 mars 2017
Un tweet qui intervient en réponse à celui du journaliste Jean-Michel Aphatie qui qualifiait les manifestants cagoulés de "honte pour la République"
Ces manifestants cagoulés en #Guyane sont une honte pour la République...
— jean-michel aphatie (@jmaphatie) 26 mars 2017
C'est également ce mot-clé qui est utilisé pour se réjouir de voir le drapeau de la Guyane flotter devant le siège de la Collectivité territoriale de Guyane
Le drapeau de la.#Guyane flotte enfin sur la.#CTG #GauthierHorth bravo #noubonkesa pic.twitter.com/QPdqBgGXBa
— catherine4cath (@Catherine4cath) 26 mars 2017
On le retourve beaucoup pour encourager les manifestants, après une semaine de barrages et au premier jour de grève générale.
Un groupe public NOU GON KE SA / NOU BON KE SA 973, en soutien du mouvement, a été créé sur Facebook. Une page qui diffuse des extraits des interviews de la ministre des Outre-mer, des articles de journaux sur la situation ou encore des communiqués du collectif Tro Violans.Bonjour la #Guyane et courage pour ce premier jour de grève générale #Noubonkesa
— Verlaine (@VerlaineDJENI) 27 mars 2017
Pensée affective du côté de St Laurent du Maroni
Tenez bon pic.twitter.com/ehqhIXmihp
Les Guyanais de l'Hexagone, nombreux à s'être mobilisés dans les grandes villes, ont également publié de nombreuses vidéos Facebook sous ce hashtag, comme ici lors de ce rassemblement au Blanc-Mesnil (93) samedi 25 mars.