Cette compacité est présentée par les défenseurs de Paris 2024 comme l'un des principaux atouts, avec plus de 80% des sites parisiens représentant 22 sports situés dans un rayon de 10 kilomètres, pour faire de "Paris un parc olympique".
"Il faut séduire sur l'émotion"
En milieu de matinée, ils ont été accueillis par Lilian Thuram, champion du monde 1998 et d'Europe 2000, Alain Bernard, champion olympique du 100m nage libre (2000), la championne du monde du 4x100m en 2003, Muriel Hurtis, ou encore la multiple championne paralympique Marie Amélie Le Fur (deux titres à Rio en 2016, un à Londres en 2012). "Il faut les séduire sur l'émotion, que ce serait fantastique que ce soit à Paris, mais aussi que les infrastructures servent également à la population", a expliqué Thuram au bord de la piste d'athlétisme. Patrick Baumann a également mouillé le maillot en effectuant un petit sprint avec des jeunes présents au Stade de France, avant de se prêter au jeu des photos de groupe, avec Tony Estanguet, le coprésident du comité de candidature Paris 2024, à la manoeuvre pour un selfie.Une équipe unie pour un projet unique : accueillir les Jeux Olympiques à Paris en 2024 ! #VenezPartager pic.twitter.com/AHRNUjGRTg
— France Olympique (@FranceOlympique) 15 mai 2017
La commission doit se rendre sur l'ensemble des sites de la région parisienne
Pour ce site symbolique de la France sportive (Coupe du monde 1998, Euro-2016), Paris 2024 a mis en avant les athlètes héros des Mondiaux-2003 organisés dans ce lieu, avec la présence de Christine Arron, Mehdi Baala ou encore Eunice Barber. La commission doit se rendre sur l'ensemble des sites de la région parisienne, sportifs comme Roland Garros, ou plus emblématiques de la capitale comme l'Esplanade des Invalides ou le Champ de Mars, qui seront transformés temporairement en sites de compétition si Paris, en concurrence avec Los Angeles, est retenue pour les JO-2024.