Attention, plus qu’un jour pour se rendre à la magnifique exposition « Kanak, l’art est une parole », au Musée du quai Branly à Paris. L’expo fermera ses portes dimanche soir avant d’embarquer pour la Nouvelle-Calédonie.
Pour tous ceux qui résident dans l’hexagone, il est encore temps de courir au Musée du quai Branly à Paris pour y découvrir les quelques 300 œuvres originales du patrimoine culturel kanak, dont nombre de pièces inédites rapportées de musées internationaux.
Sur 2000 m2 environ, l’exposition est organisée autour de deux grands principes : "les Kanak parlent d’eux-mêmes", et "Kanak et Européens échangent leurs regards". Chambranles sculptés, ostensoirs, masques traditionnels, statuettes, les œuvres classiques de l’art kanak sont présentées et commentées au sein d’un parcours pédagogique, incluant photographies et vidéos.
« Il y a eu une affluence très importante à cette exposition », confie Emmanuel Kasarhérou, l’un des commissaires de l’événement. « Nous avons touché non seulement le premier cercle des gens qui connaissaient la Nouvelle-Calédonie, mais également d’autres personnes qui ont donné de leur temps pour la découvrir. Pour moi c’était un vrai bonheur de présenter l’art et la culture kanak, surtout avec la densité et le nombre d’objets nécessaires. Tout cela pour montrer la cohérence, l’évolution dans le temps et le rapport à l’histoire, car cette collection s’étale sur deux siècles. Même si les objets ont une esthétique qui peut nous plaire, ils sont aussi à comprendre. »
« J’ai été très ému par la sensibilité et l’ouverture des gens qui sont venus », ajoute le commissaire de l’exposition. « Il y a un goût de la compréhension de l’autre que je trouve formidable, et c’était un vrai plaisir de le partager. »
Les chiffres exacts du nombre de visiteurs seront connus la semaine prochaine. En attendant, il faut penser à déménager dès lundi une partie de l’exposition, qui va s’installer au Centre culturel Tjibaou à Nouméa du 15 mars au 15 juin. « Pour cause de place, nous n’emmenons pas toute l’exposition. Nous allons privilégier les objets que les Calédoniens ne connaissent pas, ceux qui viennent de collections situées hors de Nouvelle-Calédonie », précise Emmanuel Kasarhérou.
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Le Musée du Quai Branly à Paris
Le Centre culturel Tjibaou à Nouméa
Sur 2000 m2 environ, l’exposition est organisée autour de deux grands principes : "les Kanak parlent d’eux-mêmes", et "Kanak et Européens échangent leurs regards". Chambranles sculptés, ostensoirs, masques traditionnels, statuettes, les œuvres classiques de l’art kanak sont présentées et commentées au sein d’un parcours pédagogique, incluant photographies et vidéos.
VIDEO : la bande annonce de l’exposition
« Il y a eu une affluence très importante à cette exposition », confie Emmanuel Kasarhérou, l’un des commissaires de l’événement. « Nous avons touché non seulement le premier cercle des gens qui connaissaient la Nouvelle-Calédonie, mais également d’autres personnes qui ont donné de leur temps pour la découvrir. Pour moi c’était un vrai bonheur de présenter l’art et la culture kanak, surtout avec la densité et le nombre d’objets nécessaires. Tout cela pour montrer la cohérence, l’évolution dans le temps et le rapport à l’histoire, car cette collection s’étale sur deux siècles. Même si les objets ont une esthétique qui peut nous plaire, ils sont aussi à comprendre. »
« J’ai été très ému par la sensibilité et l’ouverture des gens qui sont venus », ajoute le commissaire de l’exposition. « Il y a un goût de la compréhension de l’autre que je trouve formidable, et c’était un vrai plaisir de le partager. »
Les chiffres exacts du nombre de visiteurs seront connus la semaine prochaine. En attendant, il faut penser à déménager dès lundi une partie de l’exposition, qui va s’installer au Centre culturel Tjibaou à Nouméa du 15 mars au 15 juin. « Pour cause de place, nous n’emmenons pas toute l’exposition. Nous allons privilégier les objets que les Calédoniens ne connaissent pas, ceux qui viennent de collections situées hors de Nouvelle-Calédonie », précise Emmanuel Kasarhérou.
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Le Musée du Quai Branly à Paris
Le Centre culturel Tjibaou à Nouméa