Pas moins de trois Antillaises évoluent cette saison dans l'effectif professionnel de La Roche Vendée Basket Club : les Guadeloupéennes Océane Monpierre et Kendra Chéry, et la Martiniquaise Marielle Amant. Nous sommes partis à la Roche-sur-Yon près de Nantes afin de les rencontrer. Reportage.
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Océane Monpierre et Kendra Chéry ont bien de la chance, non seulement elles ont du temps de jeu à La Roche Vendée Basket Club (RVBC), troisième au classement de la Ligue féminine de basket, mais en outre elles sont les coéquipières de Marielle Amant, la Martiniquaise en reconstruction après une saison de galères physiques.
« C’est 'madame expérience', puisqu’elle a quasiment une centaine de sélection en équipe de France. Donc elle a connu vraiment beaucoup de choses et elle nous apporte toute son expérience. C’est vraiment quelqu’un d’extraordinaire au quotidien », déclare Emmanuel Body, l’entraîneur du RVBC.
Cela donne des joueuses ambitieuses : à seulement 18 ans, l’autre Guadeloupéenne, Kendra Chéry, dispose d’un plan de carrière à court terme. « Les objectifs, c’est d’intégrer une équipe en EuroLeague avec minimum dix minutes de temps de jeux. J’essaye de me fixer cet objectif parce qu’il faut que j’ai quelque chose dans la tête pour vraiment y penser sur le terrain ».
Et n’allez pas croire que la pivot du RVBC Marielle Amant ne rêve plus. À 30 ans, elle n’a pas dit son dernier mot. Oui, elle jouera un jour à l’étranger, affirme-t-elle. « Dieu a ses plans, donc maintenant je vais les suivre et puis derrière, j’espère un jour mettre un pied en dehors de la France, voir un peu, expérimenter une nouvelle aventure. Vraiment, j’y tiens encore. »
« C’est 'madame expérience', puisqu’elle a quasiment une centaine de sélection en équipe de France. Donc elle a connu vraiment beaucoup de choses et elle nous apporte toute son expérience. C’est vraiment quelqu’un d’extraordinaire au quotidien », déclare Emmanuel Body, l’entraîneur du RVBC.
Joueuses ambitieuses
De quoi montrer l’exemple à la Guadeloupéenne Océane Monpierre, 19 ans, aux deux visages : souriante dans la vie, et guerrière implacable sur le parquet. « Le terrain c’est autre chose, quand on rentre sur le terrain c’est mode combat, c’est une autre personne qui ressort, c’est le cas pour la plupart des joueuses d’ailleurs. Sur le terrain et en dehors ce n’est pas du tout la même chose », dit la meneuse du RVBC.Cela donne des joueuses ambitieuses : à seulement 18 ans, l’autre Guadeloupéenne, Kendra Chéry, dispose d’un plan de carrière à court terme. « Les objectifs, c’est d’intégrer une équipe en EuroLeague avec minimum dix minutes de temps de jeux. J’essaye de me fixer cet objectif parce qu’il faut que j’ai quelque chose dans la tête pour vraiment y penser sur le terrain ».
Et n’allez pas croire que la pivot du RVBC Marielle Amant ne rêve plus. À 30 ans, elle n’a pas dit son dernier mot. Oui, elle jouera un jour à l’étranger, affirme-t-elle. « Dieu a ses plans, donc maintenant je vais les suivre et puis derrière, j’espère un jour mettre un pied en dehors de la France, voir un peu, expérimenter une nouvelle aventure. Vraiment, j’y tiens encore. »