Jean-Louis Turquin a été tué par balle à son domicile de Saint-Martin dans la nuit de vendredi à samedi. En Guadeloupe, le parquet de Pointe-à-Pitre a requis, lundi 9 janvier, l'ouverture d'une information judiciaire pour "meurtre avec préméditation ou guet-apens".
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Le parquet de Pointe-à-Pitre a requis, lundi soir, l'ouverture d'une information judiciaire pour "meurtre avec préméditation ou guet-apens" après la mort de Jean-Louis Turquin, tué par balle à son domicile de Saint-Martin dans la nuit de vendredi à samedi, a-t-on appris auprès du parquet.
Le vétérinaire avait été condamné par la cour d'assises de Nice à 20 ans de réclusion criminelle pour l'assassinat de son fils de 8 ans, Charles-Édouard, dont le corps n'a jamais été retrouvé. Jean-Louis Turquin, 68 ans, avait toujours clamé son innocence. En libération conditionnelle depuis 2006, Jean-Louis Turquin s'était installé à Saint-Martin en 2010 comme vétérinaire.
Une autopsie dans la semaine
Xavier Bonhomme, procureur de la République de Pointe-à-Pitre, dorénavant en charge du dossier du fait de son caractère criminel, a indiqué à l'AFP, qu'il n'a "pas d'hypothèse de travail particulière", n'excluant ni la piste du "cambriolage qui aurait mal tourné", ni celle d'un éventuel règlement de comptes, en lien ou non avec le passé judiciaire de la victime. Une autopsie doit avoir lieu "dans la semaine", selon la même source.Tué par balle
Jean-Louis Turquin, condamné en 1997 à Nice pour l'assassinat de son fils, a été trouvé mort avec un impact de balle "dans le dos", dans la nuit de vendredi à samedi, à son domicile de l'île antillaise de Saint-Martin.Le vétérinaire avait été condamné par la cour d'assises de Nice à 20 ans de réclusion criminelle pour l'assassinat de son fils de 8 ans, Charles-Édouard, dont le corps n'a jamais été retrouvé. Jean-Louis Turquin, 68 ans, avait toujours clamé son innocence. En libération conditionnelle depuis 2006, Jean-Louis Turquin s'était installé à Saint-Martin en 2010 comme vétérinaire.