La troisième édition du festival le mois Kréyol se déroule du 9 octobre au 9 novembre 2019. Plusieurs événements sont prévus entre Paris et la Martinique, en passant par la Guadeloupe, Trinité-et-Tobago, Strasbourg ou encore Montréal.
Depuis trois ans, le festival pluridisciplinaire "le mois Kréyol" propose pendant un mois divers événements pour célébrer la langue créole et ses cultures.
La compagnie de danse Difé Kako s'est occupée cette année encore de la programmation. Cette édition est surtout centrée autour des artistes venant de La Réunion et de la Guyane. La soirée inaugurale est prévue le 8 octobre au ministère de la Culture. Au programme : des danses traditionnelles de Guadeloupe avec Madi et Kéra, et une lecture théâtralisée d'un extrait de Colore(d) de Pierre Sainte-Luce par Mariann Mathéus et Thierry Galand.
S'enchaîneront ensuite pendant quatre semaines concerts, conférences (parfois dansées), ateliers de danse, d'écriture, de chant, de dégustation de rhum, de cuisine, dictées, contes, projections, théâtre et marchés créoles. Les tables rondes porteront surtout sur l'importance du créole aujourd'hui et sur la valeur du patrimoine culturel immatériel.
C'est à Paris ou en région parisienne que se dérouleront principalement les événements. Corinne Mencé-Caster, marraine du festival explique que la grande nouveauté de cette année pour le festival est "d'investir d'autres endroits que Paris et l'Île-de-France". Trois journées Kréyol sont prévues à Strasbourg avec un dîner concert le samedi 26 octobre. En Guadeloupe et en Martinique, il y aura une journée Kréyol et une diffusion de documentaire. Une journée est également au programme à Trinité-et-Tobago, et un stage de danse et un documentaire seront accessibles à Montréal. Auparavant, le festival n'était présent dans aucun de ces endroits. Cela permet d'ouvrir le festival sur d'autres cultures.
Le festival compte cette année trois marraines. George Pau-Langevin, députée de la 15e circonscription de Paris et ancienne ministre des Outre-mer en est à sa troisième édition. Corinne Mencé-Caster, professeure à Paris IV-Sorbonne, de nouveau marraine du festival, l'était déjà l'an dernier, et la journaliste Audrey Pulvar y participe pour la première fois.
Cette année, un partenariat avec l'association Sorb'Outremer de la Sorbonne. Corinne Mencé-Caster espère ainsi "rajeunir le festival, et l'ouvrir à un public pas uniquement ultramarin". Cela permet au festival d'organiser plusieurs événements à la Sorbonne.
Enfin, Corinne-Mencé Caster espère aussi que le festival parviendra à obtenir un soutien plus important, à la fois financier et institutionnel, afin de le pérenniser.
Le programme complet est disponible ici.
La compagnie de danse Difé Kako s'est occupée cette année encore de la programmation. Cette édition est surtout centrée autour des artistes venant de La Réunion et de la Guyane. La soirée inaugurale est prévue le 8 octobre au ministère de la Culture. Au programme : des danses traditionnelles de Guadeloupe avec Madi et Kéra, et une lecture théâtralisée d'un extrait de Colore(d) de Pierre Sainte-Luce par Mariann Mathéus et Thierry Galand.
Le programme
Mais le véritable coup d'envoi du festival a lieu le lendemain au 6B à Saint-Denis (93), avec des DJs au croisement des musiques traditionnelles antillaises avec l'électro, et des battles de danse.S'enchaîneront ensuite pendant quatre semaines concerts, conférences (parfois dansées), ateliers de danse, d'écriture, de chant, de dégustation de rhum, de cuisine, dictées, contes, projections, théâtre et marchés créoles. Les tables rondes porteront surtout sur l'importance du créole aujourd'hui et sur la valeur du patrimoine culturel immatériel.
C'est à Paris ou en région parisienne que se dérouleront principalement les événements. Corinne Mencé-Caster, marraine du festival explique que la grande nouveauté de cette année pour le festival est "d'investir d'autres endroits que Paris et l'Île-de-France". Trois journées Kréyol sont prévues à Strasbourg avec un dîner concert le samedi 26 octobre. En Guadeloupe et en Martinique, il y aura une journée Kréyol et une diffusion de documentaire. Une journée est également au programme à Trinité-et-Tobago, et un stage de danse et un documentaire seront accessibles à Montréal. Auparavant, le festival n'était présent dans aucun de ces endroits. Cela permet d'ouvrir le festival sur d'autres cultures.
Le festival compte cette année trois marraines. George Pau-Langevin, députée de la 15e circonscription de Paris et ancienne ministre des Outre-mer en est à sa troisième édition. Corinne Mencé-Caster, professeure à Paris IV-Sorbonne, de nouveau marraine du festival, l'était déjà l'an dernier, et la journaliste Audrey Pulvar y participe pour la première fois.
Cette année, un partenariat avec l'association Sorb'Outremer de la Sorbonne. Corinne Mencé-Caster espère ainsi "rajeunir le festival, et l'ouvrir à un public pas uniquement ultramarin". Cela permet au festival d'organiser plusieurs événements à la Sorbonne.
Enfin, Corinne-Mencé Caster espère aussi que le festival parviendra à obtenir un soutien plus important, à la fois financier et institutionnel, afin de le pérenniser.
Le programme complet est disponible ici.