Outre-mer et si on bougeait les lignes ? (1) : identité et diversité

C'est le nouveau rendez-vous d'information mensuel des rédactions Outre-mer de France télévisions. La première émission s'interroge sur les thèmes de l'identité et de la diversité avec cette question : comment vivre son identité dans une société plurielle ? ©La 1ère
C'est le nouveau rendez-vous d'information mensuel des rédactions Outre-mer de France télévisions. La première émission s'interroge sur les thèmes de l'identité et de la diversité avec cette question : comment vivre son identité dans une société plurielle ? 
"Outre-mer et si on bougeait les lignes ?" est un nouveau rendez-vous mensuel où on vous donne la parole à travers des témoignages, où des experts partagent leurs savoirs et proposent leurs solutions lors de débats.
 

Des témoignages

Celui de Louis Jean Jacques, Amerindien Ka'lina de Guyane, guide touristique
Extrait de l'émission "Outre-mer, et si on bougeait les lignes ?"
puis celui de Henri Lafitte, chanteur local reconnu à Saint-Pierre et Miquelon
Henri Lafitte

Des échanges entre experts

Premier débat sur les thèmes de ce premier numéro entre la sociologue martiniquaise Audrey Célestine, auteure de La Fabrique des identités : l'encadrement des minorités caribéennes à Paris et New York, aux éditions Karthala, l'ethnologue Benoît Carteron, auteur de l'ouvrage de référence Identités culturelles et sentiment d'appartenance en Nouvelle-Calédonie. Sur le seuil de la maison commune, aux éditions L'harmattan, et Spelo Rastami, linguiste mahorais, président de l'association SHIME qui s'occupe, depuis 1998, des langues ancestrales de Mayotte pour leur sauvegarde et leur diffusion.
Spelo Rastami, linguiste et président de l'association SHIME, Audrey Céléstine, sociologue et Benoît Carteron, ethnologue.
Puis, place à une autre discussion entre Stéphanie Atger, députée LREM de l'Essonne, d'origine polynésienne et martiniquaise, Isabelle Hidair-Krivsky, nouvelle déléguée régionale aux droits des femmes et à l'égalité de Guyane, et le Martiniquais Louis-Georges Tin, ancien président d'honneur du Conseil représentatif des associations noires, le CRAN, et qui vient justement de publier un livre intitulé Les impostures de l'universalisme, aux éditions Textuel.
Isabelle Hidair-Krivsky, déléguée régionale aux droits des femmes et à l'égalité de Guyane, Louis-Georges Tin, ancien président d'honneur du CRAN et Stéphanie Atger, députée de l'Essonne.