Propriétaire d’un pavillon à Maisons-Alfort en région parisienne depuis plus d’un an, Yvelise Labinsky n’a jamais pu y habiter. Les locataires actuels refusent de quitter les lieux. La Martiniquaise se retrouve sans solution pérenne de logement.
Être propriétaire d’une maison mais se retrouver sans domicile fixe. Ce paradoxe, c’est l’histoire d’Yvelise Labinsky depuis maintenant plus d'un an.
Tombée sous le charme d’un pavillon situé au bout d’une impasse à Maisons-Alfort en région parisienne, la Martiniquaise décide d’en faire l’acquisition en juillet 2019... Mais n’a jamais pu mettre un pied dedans. La raison ? Au moment de l’achat, la maison était louée par un couple et leurs huit enfants. Ils n’ont finalement jamais déménagé malgré l’injonction qui leur a été faite et occupent toujours les lieux.
Une situation qui la laisse dans une condition précaire, entre les divers hébergements chez ses proches et dans le garage aménagé d’une de ses amies où elle habite actuellement, et qui pèse dans son porte-monnaie.
A court d’options, Yvelise Labinsky finit par engager un avocat.
Contactée, l’avocate de la famille locataire n’a pas souhaité répondre. Une décision de justice est attendue le 21 janvier.
Tombée sous le charme d’un pavillon situé au bout d’une impasse à Maisons-Alfort en région parisienne, la Martiniquaise décide d’en faire l’acquisition en juillet 2019... Mais n’a jamais pu mettre un pied dedans. La raison ? Au moment de l’achat, la maison était louée par un couple et leurs huit enfants. Ils n’ont finalement jamais déménagé malgré l’injonction qui leur a été faite et occupent toujours les lieux.
Une situation qui la laisse dans une condition précaire, entre les divers hébergements chez ses proches et dans le garage aménagé d’une de ses amies où elle habite actuellement, et qui pèse dans son porte-monnaie.
Je ne perçois pas de loyer, je dois payer une démarche juridique, l’huissier pour qu’il fasse l’assignation à l’audience… Et le crédit de la maison.
A court d’options, Yvelise Labinsky finit par engager un avocat.
Ecoutez le reportage de Célia Cléry :
Contactée, l’avocate de la famille locataire n’a pas souhaité répondre. Une décision de justice est attendue le 21 janvier.