Le dernier roman de Nathacha Appanah, "Le ciel par-dessus le toit" (Gallimard) raconte la violence intime entre les personnages d’une même famille et comment la souffrance qui en résulte est transmise de génération en génération.
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La difficulté de chacun à trouver les mots pour dire sa peine est un enjeu vital et un enjeu littéraire. "Le ciel par-dessus le toit", de Nathacha Appanah, née à Maurice, auteure de neuf livres, est sur plusieurs listes de grands prix littéraires de l’automne (Goncourt, Renaudot et Femina).
"Le ciel est, par-dessus le toit
Si bleu, si calme !"
écrit Verlaine au début d’un poème.
Nathacha Appanah fait de ce ciel le titre de son dernier roman. L’histoire d’un enfant poète empêché de vivre à cause d’une souffrance transmise de génération en génération. Un roman où la langue veut soulager la peine. Il y a une enfance dévastée, un personnage en pièces détachées, des scènes intimes de violence familiale, des mots ronds mais aussi des mots morts, une prison intérieure qui est une vraie prison, 120 pages de liens tissés à travers le temps. "Le ciel par-dessus le toit", de Nathacha Appanah, est publié par Gallimard.
"Le ciel est, par-dessus le toit
Si bleu, si calme !"
écrit Verlaine au début d’un poème.
Nathacha Appanah fait de ce ciel le titre de son dernier roman. L’histoire d’un enfant poète empêché de vivre à cause d’une souffrance transmise de génération en génération. Un roman où la langue veut soulager la peine. Il y a une enfance dévastée, un personnage en pièces détachées, des scènes intimes de violence familiale, des mots ronds mais aussi des mots morts, une prison intérieure qui est une vraie prison, 120 pages de liens tissés à travers le temps. "Le ciel par-dessus le toit", de Nathacha Appanah, est publié par Gallimard.