A partir du 25 janvier, la chaîne franco-allemande Arte diffusera une série policière de quatre épisodes se déroulant en Guyane. Une enquête criminelle menée tambour battant à Cayenne et au coeur de la forêt amazonienne, sur fond de rituels vaudou.
La Guyane, avec ses paysages intenses, sa végétation, sa faune, ses fleuves ainsi que son incroyable diversité humaine et culturelle fascine de plus en plus romanciers et cinéastes. Sans compter investisseurs, aventuriers et escrocs de tout acabit qui tentent de s’y implanter pour ses richesses minières et agricoles, et dont les méfaits peuvent parfois nourrir l’imagination de réalisateurs.
Ainsi à compter du 25 janvier, la chaîne franco-allemande Arte va diffuser une série de quatre épisodes (attention : tous interdits aux moins de 16 ans) de 45 minutes ayant pour cadre la Guyane, intitulée "Maroni, les fantômes du fleuve", réalisée par Olivier Abbou sur une intrigue d’Aurélien Molas, un auteur de romans policiers.
Et l’on devrait être servi. Les ingrédients : meurtre d’un couple de métropolitains, disparition de leur jeune fils, immigration illégale, trafic d’animaux, violence et réseaux de prostitution, rituels vaudou, misère sociale et plongée dans les "ténèbres" de la forêt amazonienne… Beaucoup de clichés à la limite de la caricature mais il faut bien amuser le public. Pas sûr que les Guyanais s’y reconnaîtront. Le téléspectateur jugera par lui-même.
Ainsi à compter du 25 janvier, la chaîne franco-allemande Arte va diffuser une série de quatre épisodes (attention : tous interdits aux moins de 16 ans) de 45 minutes ayant pour cadre la Guyane, intitulée "Maroni, les fantômes du fleuve", réalisée par Olivier Abbou sur une intrigue d’Aurélien Molas, un auteur de romans policiers.
Pas sûr que les Guyanais s’y reconnaîtront
"Une gendarme fraîchement débarquée à Cayenne et son coéquipier enquêtent sur la disparition d'un enfant. Au cœur de la Guyane sauvage, un thriller aux accents conradiens sur lequel planent les mystères du vaudou", explique Arte dans sa présentation.Et l’on devrait être servi. Les ingrédients : meurtre d’un couple de métropolitains, disparition de leur jeune fils, immigration illégale, trafic d’animaux, violence et réseaux de prostitution, rituels vaudou, misère sociale et plongée dans les "ténèbres" de la forêt amazonienne… Beaucoup de clichés à la limite de la caricature mais il faut bien amuser le public. Pas sûr que les Guyanais s’y reconnaîtront. Le téléspectateur jugera par lui-même.