Les habitants de Wallis-et-Futuna nécessitant des soins dans l'Hexagone n'auront pas à faire l'avance de frais et seront désormais entièrement pris en charge, selon une convention signée jeudi entre l'Assurance maladie et l'Agence de santé de Wallis-et-Futuna.
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Engagement du président de la République, la convention "a pour objectif d'améliorer la prise en charge des Wallisiens et Futuniens nécessitant des soins dans l'Hexagone, et définit les conditions de prise en charge des transferts", a précisé le ministère des Outre-mer dans un communiqué.
"Le patient qui ne dispose pas d'une couverture sociale n'aura pas à faire l'avance des frais. Il sera pris en charge à 100% dans la limite des tarifs opposables", ajoute le ministère. Il rappelle que la ministre des Outre-mer Ericka Bareigts "était attachée à l'aboutissement de cette convention".
François Hollande est le premier président de la République à s'être rendu à Wallis-et-Futuna, en février 2016. Il avait alors répondu à plusieurs attentes locales, comme la création d'un distributeur de billets de banque - inexistant sur l'île jusqu'à présent - de nouvelles dessertes aériennes et maritimes et l'installation d'un centre de dialyse.
"Le patient qui ne dispose pas d'une couverture sociale n'aura pas à faire l'avance des frais. Il sera pris en charge à 100% dans la limite des tarifs opposables", ajoute le ministère. Il rappelle que la ministre des Outre-mer Ericka Bareigts "était attachée à l'aboutissement de cette convention".
François Hollande est le premier président de la République à s'être rendu à Wallis-et-Futuna, en février 2016. Il avait alors répondu à plusieurs attentes locales, comme la création d'un distributeur de billets de banque - inexistant sur l'île jusqu'à présent - de nouvelles dessertes aériennes et maritimes et l'installation d'un centre de dialyse.