WEB SERIE : Kannibal Hub, voyage dans le Tout Monde - Episodes 12 à 16

Kannibal Hub - Voyage dans le Tout-Monde

Partez à la découverte des arts visuels contemporains des Caraïbes. Kannibal Hub, ce sont des portraits d'artistes émergents ou confirmés qui chacun à leur manière témoignent, surprennent, étonnent, provoquent et surtout donnent à voir et à réfléchir sur leurs places dans le Tout Monde. 

Désir cannibale - Jean-Marc Hunt

Jean-Marc Hunt, plasticien et commissaire d’exposition, nous présente un échantillon de la nouvelle scène artistique contemporaine à l'occasion de son exposition Désir Cannibale, présentée au Festival Tout Monde de Miami, véritable Hub culturel des caraïbes. « Désir cannibale c'est dévorer la culture du colonisateur pour en prendre sa force. Étymologiquement cannibale vient du mot Caraïbe... Cette exposition symbolise cet acte d'anthropophagie culturelle. »

Instagram: jeanmarchunt

Facebook : jeanmarc.hunt

Site de l'artiste : http://jeanmarchunt.fr

Jean-Marc Hunt, plasticien et commissaire d’exposition, nous présente un échantillon de la nouvelle scène artistique contemporaine à l'occasion de son exposition Désir Cannibale, présentée au Festival Tout Monde de Miami, véritable Hub culturel des caraïbes. « Désir cannibale c'est dévorer la culture du colonisateur pour en prendre sa force. Étymologiquement cannibale vient du mot Caraïbe... Cette exposition symbolise cet acte d'anthropophagie culturelle. » Instagram: jeanmarchunt Facebook : jeanmarc.hunt Site de l'artiste : http://jeanmarchunt.fr


Garifuna Legacy - Robert Charlotte

Le photographe Martiniquais Robert Charlotte nous retrace l’histoire du peuple Garifuna, l'un des seuls peuples afro américain à n'avoir jamais été réduit en esclavage. Un périple qui donne lieu à une exposition, au festival Tout Monde de Miami.

Instagram: charlotterobert

Facebook : robert.charlotte.56

 

Le photographe Martiniquais Robert Charlotte nous retrace l’histoire du peuple Garifuna, l'un des seuls peuples afro américain à n'avoir jamais été réduit en esclavage. Un périple qui donne lieu à une exposition, au festival Tout Monde de Miami. Instagram: charlotterobert Facebook : robert.charlotte.56


Man man chadwon - Gwladys Gambie

Des jardins de Balata en Martinique au Little Haïti de Miami, la plasticienne Gladys Gambie nous présente Man Man Chadwon son avatar artistique, ultime chimère de la potomitance, une réflexion sur la féminité et la situation de la femme dans la société antillaise.  

Instagram: gladys_lady

Twitter : glad10LAdy

Facebook : AfroditeGlad

Des jardins de Balata en Martinique au Little Haïti de Miami, la plasticienne Gladys Gambie nous présente Man Man Chadwon son avatar artistique, ultime chimère de la potomitance, une réflexion sur la féminité et la situation de la femme dans la société antillaise. Instagram: gladys_lady Twitter : glad10LAdy Facebook : AfroditeGlad


Mémoires fantômes - Bruno Pedurand

En Guadeloupe et à Paris, l'artiste visuel Bruno Pedurand évoque sur des cartons de bananes et au noir de fumée la fragilité de la mémoire collective.

Facebook : bruno.pedurand.7

En Guadeloupe et à Paris, l'artiste visuel Bruno Pedurand évoque sur des cartons de bananes et au noir de fumée la fragilité de la mémoire collective. Facebook : bruno.pedurand.7


Vibrations Orishas - Ricardo Ozier-La Fontaine

En Martinique, le peintre Ricardo Ozier Lafontaine nous exprime sa passion pour les Orishas, ces dieux animistes de la Santéria qu’il convoque aussi bien dans la percussion cubaine que dans la peinture automatique.

Instagram : ricardoozierlafontaine

Facebook : ricardo.ozierlafontaine

Site de l'artiste : https://www.ricardozierlafontaine.com

En Martinique, le peintre Ricardo Ozier Lafontaine nous exprime sa passion pour les Orishas, ces dieux animistes de la Santéria qu’il convoque aussi bien dans la percussion cubaine que dans la peinture automatique. Instagram : ricardoozierlafontaine Facebook : ricardo.ozierlafontaine Site de l'artiste : https://www.ricardozierlafontaine.com

 

Production : Eclectic / Corto & Co
Réalisation : Gérard Maximin
2020