L’équipe de France de handball s’est qualifiée dimanche soir pour les quarts de finale du Mondial en Espagne en dominant l’Islande 30-28. Une victoire qui a été longue à se dessiner mais construite sur les valeurs collective et de combativité.
La France est en quarts, mais elle n’est pas passée loin du vide. Face à des combattifs islandais qui les avait déjà battus aux JO de Londres - la seule défaite française de la compétition - les Experts ont souffert. Poussifs depuis le début de la compétition, une habitude chez eux, ils retrouvent souvent leurs valeurs au moment des matches couperets. Ce fut encore le cas ce dimanche où Claude Onesta a assuré avoir retrouvé la "force collective et la combativité" qui caractérise les Bleus. Pourtant, tout ne fut pas parfait et même s’ils ont plus souvent fait la course en tête, jamais les Experts n’ont pu "tuer" le match malgré un écart de +3 à plusieurs reprises au milieu de la seconde période. A chaque fois, les Islandais ont su recoller au score et faire douter les Bleus (26-26 à six minutes de la fin).
Mais, Daniel Narcisse et consorts savent s’appuyer sur les bases qui ont servi lors de tous leurs succès précédents : le mental et la confiance en soi. Le meilleur joueur du monde le confirmait d’ailleurs dans son analyse d’après-match :"quelque part, aujourd’hui, notre expérience nous a sauvée". "C’est une belle victoire sur le plan mental. J’espère que ça va lancer notre compétition", a déclaré Claude Onesta. La suite justement ? Un duel mercredi contre la Bielorussie ou leurs meilleurs ennemis, la Croatie. S’ils ignorent encore leur adversaire - ils le connaîtront ce lundi - les Experts se méfient et savent très bien qu’il faudra encore faire plus. "Il ne faut pas se leurrer, désormais, il va falloir être capable de faire la petite différence dans le money time tant chaque tour va être très disputé", a conclu Daniel Narcisse.
Mais, Daniel Narcisse et consorts savent s’appuyer sur les bases qui ont servi lors de tous leurs succès précédents : le mental et la confiance en soi. Le meilleur joueur du monde le confirmait d’ailleurs dans son analyse d’après-match :"quelque part, aujourd’hui, notre expérience nous a sauvée". "C’est une belle victoire sur le plan mental. J’espère que ça va lancer notre compétition", a déclaré Claude Onesta. La suite justement ? Un duel mercredi contre la Bielorussie ou leurs meilleurs ennemis, la Croatie. S’ils ignorent encore leur adversaire - ils le connaîtront ce lundi - les Experts se méfient et savent très bien qu’il faudra encore faire plus. "Il ne faut pas se leurrer, désormais, il va falloir être capable de faire la petite différence dans le money time tant chaque tour va être très disputé", a conclu Daniel Narcisse.