Les obsèques des victimes de la tuerie de Tabanon, deux morts inexpliquées à La Réunion : les Unes de la presse Outre-mer

En Guadeloupe, l'hommage rendu à trois victimes de la tuerie de Tabanon fait la couverture de France-Antilles tandis que la presse réunionaise se penche sur la mort inexpliquée d'une mère et de son fils à St Denis.  En Martinique, le passage de la tempête tropicale Chantal fait la une. 
France-Antilles Guadeloupe consacre sa une aux obsèques de Martine, Océanne et Killian,  tués le 29 juin dernier par David Ramassamy, le compagnon et père de ces trois victimes. Des centaines de personnes ont assisté à la cérémonie au Lamentin. Une photo de case détruite, la tempête Chantal a fait quelques dégâts matériels mais pas de victimes, précise France-Antilles Martinique dans son édition de ce mercredi. Quant au journal France Guyane, il célèbre son champion de NBA, Kevin Séraphin qui organise un stage dans son département natal. 

Deux morts inexpliquées à la Réunion


Une mère, âgée d'une soixantaine d'années et son fils trentenaire ont été découverts sans vie chez eux à St Denis de La Réunion. Le Quotidien et le Journal de l'île de La Réunion consacrent leurs couvertures à ce faits divers inexpliqué. De son côté, Témoignages s'intéresse à la visite du Président des Seychelles à La Réunion qui semble se sentir "comme chez lui".

Le recours devant le Conseil d'Etat pour annuler l'élection de Gaston Flosse

L'opposition à Gaston Flosse n'a pas dit son dernier mot en Polynésie française. Les Nouvelles de Tahiti reviennent sur le recours de l'UPLD (Union Pour La Démocratie) devant le Conseil d'Etat, contre l'élection de Flosse. La requête a bien été enregistrée. Les travaux du nouveau centre de détention de Papeari vont-ils pouvoir commencer ? La Dépêche de Tahiti suit le dossier de près. Un collectif de riverains a bloqué l'accès au chantier et la gendarmerie a du intervenir. 

La Société Le Nickel critiquée

A Thio, les habitants réunis dans un collectif réclament à la SLN (Société Le Nickel) des mesures contre la pollution minière. Rarement, selon les Nouvelles Calédoniennes, la colère des riverains ne s'était exprimée avec une telle virulence. Des pneus qui brûlent, des tags sur les murs du type "SLN, pollueur", l'accès aux mines de l'entreprise a même été bloqué mardi.