Grièvement blessé le 3 juin 2013 dans un accident de la route, le milieu de terrain martiniquais, Kévin Anin s'est dit touché par le soutien de Nice, qui lui rendra hommage ce soir face au PSG.
Le 21 avril dernier, le match PSG-Nice avait été le dernier de l'ex-numéro 17, avant son accident survenu six semaines plus tard. Ce soir, les joueurs de l'OGC Nice profiteront de la venue des Parisiens sur leur pelouse pour adresser plusieurs clins d'oeil à Kevin Anin. Ils s'échaufferont avec un maillot spécial, et la 17ème minute de la rencontre, il y aura soixante secondes d'applaudissement en soutien à leur ancien milieu de terrain.
"Je vis à Lorient, toujours bien entouré. Je peux compter sur ma copine, ma mère, ma soeur... Ce que je vis est long, difficile. Mais surmontable... Les messages m'aident énormément. A Nice, j'étais proche de pas mal de supporters, de mecs que je croisais à l'entraînement. Beaucoup de gens bien, vrais. C'est cette identité qui me plaît. Et c'est pourquoi nous serons toujours ensemble", a expliqué Kevin Anin sur le site internet du club niçois.
Le staff niçois a mis en ligne un clip vidéo pour soutenir le sportif dans sa rééducation.
Une semaine de coma, un mois d’hospitalisation et plus de huit semaines en centre de rééducation. C’est ce qu'a enduré l’ex-footballeur du Havre, Kévin Anin, 27 ans, après son grave accident de la route survenu le 4 juin 2013 en Seine-Maritime alors qu’il était passager d’une voiture dans laquelle trois autres personnes avaient été blessées.
Dans une interview qu’il donne au Canal Football Club, dimanche 8 septembre 2013, le jeune homme se confie :
Sur Twitter des messages de soutien affluent depuis le drame.
Fin novembre, en déplacement à Lorient, les Niçois avait rendu visite à Kevin Anin. Ce dernier peut désormais envisager de rendre la pareille. "Avec le recul, je réalise encore plus à quel point la ville était magnifique. En attendant, je passe un gros salut aux Niçois. Je leur souhaite une belle victoire contre Paris".
"Ce que je vis est long mais surmontable"
Aujourd'hui en rééducation dans un centre spécialisé à Lorient, Kevin Anin s'est dit touché jeudi par les messages de soutien de son ancien club qui se sont multipliés cette semaine :"Je vis à Lorient, toujours bien entouré. Je peux compter sur ma copine, ma mère, ma soeur... Ce que je vis est long, difficile. Mais surmontable... Les messages m'aident énormément. A Nice, j'étais proche de pas mal de supporters, de mecs que je croisais à l'entraînement. Beaucoup de gens bien, vrais. C'est cette identité qui me plaît. Et c'est pourquoi nous serons toujours ensemble", a expliqué Kevin Anin sur le site internet du club niçois.
Le staff niçois a mis en ligne un clip vidéo pour soutenir le sportif dans sa rééducation.
L'accident
Une semaine de coma, un mois d’hospitalisation et plus de huit semaines en centre de rééducation. C’est ce qu'a enduré l’ex-footballeur du Havre, Kévin Anin, 27 ans, après son grave accident de la route survenu le 4 juin 2013 en Seine-Maritime alors qu’il était passager d’une voiture dans laquelle trois autres personnes avaient été blessées. Dans une interview qu’il donne au Canal Football Club, dimanche 8 septembre 2013, le jeune homme se confie :
« Kevin uno di noi »
Depuis, le contact n'a jamais été rompu entre les composantes du club niçois, dont les supporters, et le milieu de terrain durement touché dans son corps, l’Olympique Gymnaste Club Nice Côte d’Azur, surnommé le « Gym »a tenu à rappeler très fort cette semaine qu'il n'oubliait pas "l'un des siens"en amont de la réception du PSG, lançant l'opération "Kevin uno di noi" (Kevin,l'un des nôtres en italien) pour laquelle est créée une page facebook.Sur Twitter des messages de soutien affluent depuis le drame.
Un supporter de la première heure
Fin novembre, en déplacement à Lorient, les Niçois avait rendu visite à Kevin Anin. Ce dernier peut désormais envisager de rendre la pareille. "Avec le recul, je réalise encore plus à quel point la ville était magnifique. En attendant, je passe un gros salut aux Niçois. Je leur souhaite une belle victoire contre Paris".