Le PDG de Corsair a tenté de rassurer, ce mercredi 11 mars, sur France Ô. "Il n'y aucune inquiétude à avoir sur l'avenir de la compagnie", affirme Pascal de Izaguirre alors que la tentative de rachat de Corsair par le groupe Dubreuil a échoué, à la surprise générale, la semaine dernière.
"Il n'y a aucune inquiétude à avoir sur l'avenir de la compagnie", affirme Pascal de Izaguirre, ce mercredi 11 mars, sur France Ô dans le journal Infômidi (à revoir par ici). Il s’agissait de la première déclaration du PDG de la compagnie aérienne depuis la tentative avortée de rachat de Corsair par le groupe Dubreuil.
points de cette négociation" et que le groupe TUI a préféré mettre fin aux discussions.
Pascal de Izaguirre n’a en revanche pas précisé quels avaient été les points d’achoppement entre les deux groupes qui prétendaient avoir des relations amicales au moment de présenter le projet de rachat à la presse, en février dernier.
Ce mercredi, Pascal de Izaguirre assure que les syndicats, ne sont "pas responsables" de l'échec de cette opération. Ils "ne déterminent pas la stratégie de la compagnie, c'est le management et l'actionnaire", précise le PDG, ajoutant que cet échec n'aura pas d’impact sur les prix des billets d’avion.
"Toutes les fiançailles ne se terminent pas par un mariage"
Les discussions entre Corsair et le groupe Vendéen, actionnaire d’Air Caraïbes, ont pris fin jeudi dernier. Les négociations entre les deux parties étaient pourtant sur le point d’aboutir. "Toutes les fiançailles ne se terminent pas par un mariage, malheureusement ce sont des choses qui arrivent dans le monde des affaires. Il ne s'agissait que d'un projet (...), affirme Pascal de Izaguirre, PDG de Corsair, qui avoue "qu’il n’y avait pas d'entente sur tous lespoints de cette négociation" et que le groupe TUI a préféré mettre fin aux discussions.
Pascal de Izaguirre n’a en revanche pas précisé quels avaient été les points d’achoppement entre les deux groupes qui prétendaient avoir des relations amicales au moment de présenter le projet de rachat à la presse, en février dernier.
"Les syndicats ne sont pas responsables"
Un projet qui avait déclenché la colère des syndicats, craignant pour les emplois, même si le groupe Dubreuil affirmait qu’il n’y aurait pas de plan social. Une grève de trois jours a coûté plus de quatre millions d’euros à Corsair. Le mouvement devait être reconduit si le projet de rachat était maintenu en l’état.Ce mercredi, Pascal de Izaguirre assure que les syndicats, ne sont "pas responsables" de l'échec de cette opération. Ils "ne déterminent pas la stratégie de la compagnie, c'est le management et l'actionnaire", précise le PDG, ajoutant que cet échec n'aura pas d’impact sur les prix des billets d’avion.