"Et le ciel devient familier" est un récit à cinq voix. Le père, la mère et les frères et sœurs de Sophie Morinière parlent de leur détresse, de leur foi, de leur découverte de la Guyane, et de Christiane Taubira.
Le 17 juillet 2013, Sophie Morinière, 21 ans, meurt dans un accident de la route en Guyane. Son car qui transportait des jeunes catholiques de l’hexagone en partance pour les JMJ de Rio est percuté par un camion sur la route qui mène de Saint-Laurent-du-Maroni à Cayenne. La jeune femme qui étudie dans une école d’ingénieur à Paris est la seule victime de la collision.
Deux ans plus tard sa famille raconte ce drame tel qu’ils l’ont vécu dans un ouvrage intitulé "Et le ciel devient familier".
Les parents racontent aussi la douleur de cette disparition brutale, et le réconfort trouvé dans la prière. Car Dieu est partout dans ce récit, et dans la vie de la famille Morinière.
Plus inattendu pour eux, le soutien de la garde des Sceaux Christiane Taubira. On découvre ainsi que la ministre leur envoie un mot de condoléances ("C’est ma terre, je suis mère, je me sens proche de votre drame"), puis se déplace en personne à leur domicile. Plus encore, elle facilite le rapatriement du corps de Sophie.
Pourtant celle qui a légalisé le mariage pour tous est tout sauf proche des valeurs religieuses de la famille Morinière qui s’oppose farouchement à la loi. Un an plus tard Christiane Taubira va les retrouver en Guyane lors d’un voyage organisé à la date anniversaire de la mort de Sophie.
Deux ans plus tard sa famille raconte ce drame tel qu’ils l’ont vécu dans un ouvrage intitulé "Et le ciel devient familier".
Sophie Morinière, une jeune fille au comportement exemplaire
Le livre est d’abord un hommage à la fille et la sœur disparue. François et Béatrice, les parents, Juliette, Paul et Mathieu, les frères et sœurs dressent le portrait d’une étudiante joyeuse, tournée vers les autres, et dont les actes étaient en accord avec sa foi. Elle avait choisi, par exemple d’accompagner des malades en pèlerinage à Lourdes.Les parents racontent aussi la douleur de cette disparition brutale, et le réconfort trouvé dans la prière. Car Dieu est partout dans ce récit, et dans la vie de la famille Morinière.
Christiane Taubira, soutien inattendu à la famille Morinière
Dans cette épreuve, beaucoup d’hommes et de femmes vont leur tendre la main. Il y a monseigneur Lafont, l’évêque de Cayenne, présent par téléphone dès les premières heures du drame . "Un homme exceptionnel", dit de lui le père de Sophie.Plus inattendu pour eux, le soutien de la garde des Sceaux Christiane Taubira. On découvre ainsi que la ministre leur envoie un mot de condoléances ("C’est ma terre, je suis mère, je me sens proche de votre drame"), puis se déplace en personne à leur domicile. Plus encore, elle facilite le rapatriement du corps de Sophie.
Pourtant celle qui a légalisé le mariage pour tous est tout sauf proche des valeurs religieuses de la famille Morinière qui s’oppose farouchement à la loi. Un an plus tard Christiane Taubira va les retrouver en Guyane lors d’un voyage organisé à la date anniversaire de la mort de Sophie.
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