Le corps d’un jeune homme de 22 ans, originaire de Mayotte, a été trouvé mercredi dans sa chambre de la résidence Galois, sur le campus de l’Université Lille 1 à Villeneuve d’Ascq indique le journal La Voix du Nord. Il était probablement mort depuis plusieurs semaines.
C'est à la suite d'un banal traitement anti-insecte que qu’El Anfani Abdallah a été retrouvé dans son lit, sous ses couvertures. Un défunt suffisamment discret pour que personne ne se soit inquiété de son long silence précise La Voix du Nord.
Pratiquée hier, vendredi, l’autopsie n’a pu déterminer avec précision la date de décès, ni ses causes tant la décomposition était avancée. Le décès pourrait néanmoins remonter à plusieurs semaines. Le médecin légiste a tout de même pu établir que le cadavre n’avait pas subi de traumatisme et que la mort n’aurait pas été provoquée par l’intervention d’un tiers. Les premières constatations n’avaient d’ailleurs pas fait apparaître des traces de lutte ni d’autres éléments suspects, puisque la porte de la chambre était fermée de l’intérieur. Des analyses entomologiques, toxicologiques et d’ADN en cours devraient permettre d’en savoir plus sur les circonstances du décès du jeune homme qui n’avait pas de famille en métropole.
El Anfani Abdallah suivait des cours à l’Université Lille 1 l’année dernière mais ne s’était pas réinscrit à la rentrée. Le CROUS, qui gère la résidence Galois, ne s’est pas inquiété. L’organisme accompagnait le jeune homme socialement pour des retards de loyers. Il était également suivi par un médecin du Service interuniversitaire de médecine préventive et de promotion de la santé.
Une enquête menée par le commissariat de Villeneuve-d’Ascq est en cours.
Pratiquée hier, vendredi, l’autopsie n’a pu déterminer avec précision la date de décès, ni ses causes tant la décomposition était avancée. Le décès pourrait néanmoins remonter à plusieurs semaines. Le médecin légiste a tout de même pu établir que le cadavre n’avait pas subi de traumatisme et que la mort n’aurait pas été provoquée par l’intervention d’un tiers. Les premières constatations n’avaient d’ailleurs pas fait apparaître des traces de lutte ni d’autres éléments suspects, puisque la porte de la chambre était fermée de l’intérieur. Des analyses entomologiques, toxicologiques et d’ADN en cours devraient permettre d’en savoir plus sur les circonstances du décès du jeune homme qui n’avait pas de famille en métropole.
El Anfani Abdallah suivait des cours à l’Université Lille 1 l’année dernière mais ne s’était pas réinscrit à la rentrée. Le CROUS, qui gère la résidence Galois, ne s’est pas inquiété. L’organisme accompagnait le jeune homme socialement pour des retards de loyers. Il était également suivi par un médecin du Service interuniversitaire de médecine préventive et de promotion de la santé.
Une enquête menée par le commissariat de Villeneuve-d’Ascq est en cours.