Les associations jouent un rôle clé dans l’accompagnement des étudiants ultramarins en métropole. A l'instar de l'AJeG, l'Association des Jeunes de Guadeloupe, qui multiplie les initiatives. Son but : éviter, à tout prix, le décrochage universitaire.
Depuis sa création en 2011, l’AJeG s'active pour faciliter l’accueil et l’installation des étudiants guadeloupéens en métropole. Forte d’une solide organisation, l'association a développé plusieurs dispositifs pour faciliter la vie des jeunes ultramarins dans l’hexagone.
Thessa Dormois, par exemple, habite à Paris. Elle est référente depuis juin 2015. A son arrivée en métropole, en 2013, elle a manqué de soutien.
Grâce à ce réseau, l’AJeG a lancé plusieurs outils, comme une bourse aux logements ou encore une bourse au stage et au 1er emploi. Et, bientôt, le FAUJOM, le Fonds d’Aide d’Urgence pour les jeunes d’Outre-mer, sans distinction. Annoncé pour 2015, il devrait finalement voir le jour officiellement ce mois-ci. Une charte a été établie, elle définit précisément les conditions d’attribution de ce coup de pouce ponctuel.
Pour financer ces aides, l’association a trouvé la parade. Depuis 3 ans, elle organise un grand ‘Chanté Nwel’, avec le soutien des collectivités. Après une 1ère édition déficitaire, le succès est finalement au rendez-vous. Entre 3 000 et 4 000 personnes ont participé à ce Noël Solidaire en 2014 et 2015. Quelle somme a été récoltée? A quoi sert exactement cet argent ?
Regardez le reportage d’A. Le Bouter, M. Bouretima et J-P. Magnaudet
A commencer par un dense réseau de référents. L’association en compte 54 à travers la France, 8 en Guadeloupe et même 1 à Montréal. Des grands frères et des grandes sœurs qui veillent sur les nouveaux arrivants et les aident en cas de coups durs.
Thessa Dormois, par exemple, habite à Paris. Elle est référente depuis juin 2015. A son arrivée en métropole, en 2013, elle a manqué de soutien.
Grâce à ce réseau, l’AJeG a lancé plusieurs outils, comme une bourse aux logements ou encore une bourse au stage et au 1er emploi. Et, bientôt, le FAUJOM, le Fonds d’Aide d’Urgence pour les jeunes d’Outre-mer, sans distinction. Annoncé pour 2015, il devrait finalement voir le jour officiellement ce mois-ci. Une charte a été établie, elle définit précisément les conditions d’attribution de ce coup de pouce ponctuel.
Pour financer ces aides, l’association a trouvé la parade. Depuis 3 ans, elle organise un grand ‘Chanté Nwel’, avec le soutien des collectivités. Après une 1ère édition déficitaire, le succès est finalement au rendez-vous. Entre 3 000 et 4 000 personnes ont participé à ce Noël Solidaire en 2014 et 2015. Quelle somme a été récoltée? A quoi sert exactement cet argent ?
Regardez le reportage d’A. Le Bouter, M. Bouretima et J-P. Magnaudet