Interrogée par I Télé, la ministre des Outre-mer souhaite la grâce présidentielle de Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari violent. C'est la première fois qu’un membre du gouvernement prend ouvertement fait et cause en sa faveur.
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"J’espère qu’une solution pourra être trouvée pour Jacqueline Sauvage".
Interrogé sur le sujet, c’est ce qu’a répondu la ministre des Outre-mer. Alors que la polémique enfle autour du cas de cette femme de 66 ans, condamnée à dix ans de prison, pour le meurtre de son mari violent, c’est la première fois qu’une ministre se prononce en faveur de la grâce présidentielle.
Ecoutez George Pau-Langevin, interviewée par I Télé.
Une pétition circule déjà en faveur de Jacqueline Sauvage et des manifestations pour réclamer sa libération ont eu lieu. Jacqueline Sauvage avait tué son mari de trois coups de fusil dans le dos, en 2012, après des années d’un enfer conjugal fait de coups et d’abus sexuels sur elle et ses enfants.
Ce vendredi 29 janvier, François Hollande recevra sa famille et ses avocats… D'abord pour écouter, précise l’entourage du président. Un président qui, par principe, n’est pas favorable à la grâce présidentielle, rappelle l’Elysée.
Interrogé sur le sujet, c’est ce qu’a répondu la ministre des Outre-mer. Alors que la polémique enfle autour du cas de cette femme de 66 ans, condamnée à dix ans de prison, pour le meurtre de son mari violent, c’est la première fois qu’une ministre se prononce en faveur de la grâce présidentielle.
Ecoutez George Pau-Langevin, interviewée par I Télé.
GPL / Sauvage
Une pétition circule déjà en faveur de Jacqueline Sauvage et des manifestations pour réclamer sa libération ont eu lieu. Jacqueline Sauvage avait tué son mari de trois coups de fusil dans le dos, en 2012, après des années d’un enfer conjugal fait de coups et d’abus sexuels sur elle et ses enfants.
Ce vendredi 29 janvier, François Hollande recevra sa famille et ses avocats… D'abord pour écouter, précise l’entourage du président. Un président qui, par principe, n’est pas favorable à la grâce présidentielle, rappelle l’Elysée.