Les week-ends, La1ere.fr vous propose un voyage dans le temps avec les archives de l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Le 8 novembre 1998, un référendum sur l’accord de Nouméa est organisé en Nouvelle-Calédonie. Mais les habitants des bidonvilles ont bien d’autres préoccupations.
Dix ans après la prise d'assaut de la grotte d'Ouvéa, les électeurs de Nouvelle-Calédonie sont appelés, le dimanche 8 novembre 1998, à participer au référendum pour approuver ou pas l'accord de Nouméa conclu en avril de la même année par les trois partenaires des accords de Matignon de 1988 : l'Etat, le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) et le Rassemblement pour la Calédonie dans la République (RPCR, anti-indépendantiste).
Mais dans la périphérie de « Nouméa la blanche » et ses beaux quartiers, nombreux sont les Kanaks installés dans des bidonvilles que l’effervescence politique ne passionne guère. Ils demandent simplement plus de justice sociale, dans un territoire français du Pacifique où le revenu minimum d’insertion n’existe pas.
Mais dans la périphérie de « Nouméa la blanche » et ses beaux quartiers, nombreux sont les Kanaks installés dans des bidonvilles que l’effervescence politique ne passionne guère. Ils demandent simplement plus de justice sociale, dans un territoire français du Pacifique où le revenu minimum d’insertion n’existe pas.
REGARDEZ : « Les oubliés du référendum dans les bidonvilles de Nouméa » (France 3, 05 novembre 1998)
Source : INA