Cinq milles personnes sont attendues ce jeudi 13 juillet au Grand Palais à Paris pour célébrer la fête nationale avec notamment un hommage à l’une des œuvres phares de Maurice Béjart, "Messe pour le temps présent". Parmi les sept chorégraphes invités, la Guadeloupéenne Chantal Loïal.
•
Le traditionnel bal du 14 juillet aura des accents créoles ce soir au Grand Palais de Paris où sont attendues 5000 personnes pour célébrer la fête nationale.
Ces privilégiés, car l'événement affiche complet, pourront notamment assister à un hommage à l'une des oeuvres majeures de Maurice Béjart "Messe pour le temps présent". Sept chorégraphes ont été invités par le chorégraphe José Montalvo et parmi eux Chantal Loïal, ambassadrice des danses afro-antillaises. "On a voulu mélanger les mémoires, celles du bal populaire, le 14 juillet avec tout ce que ça représente et aussi la mémoire d'une oeuvre culte de l'histoire de la danse", indique le chorégraphe à l'initiative de ce bal du 14 juillet.
Vingt-cinq danseurs amateurs franciliens
"Je suis passé par le Gwo Ka, le Bèlè... Ces danses sont issues de l'esclavage. Elles nous ont permis de nous libérer, de pouvoir nous exprimer à cette période-là et je trouvais qu'il y avait un vrai parallèle avec "Messe pour le temps présent" qui était autour de la liberté, de la jeunesse", précise Chantal Loïal qui a enseigné les danses afro-antillaises à 25 danseurs amateurs franciliens, plus habitués à pratiquer le modern'jazz, la danse classique ou le hip-hop.
Stars d'un soir ces artistes franciliens inviteront à la danse avec un grand bal dédié à Pierre Henry, le compositeur de "Messe pour le temps présent", mort le 6 juillet dernier à l'âge de 89 ans... Il devait donner le coup d'envoi de cette soirée.
Ces privilégiés, car l'événement affiche complet, pourront notamment assister à un hommage à l'une des oeuvres majeures de Maurice Béjart "Messe pour le temps présent". Sept chorégraphes ont été invités par le chorégraphe José Montalvo et parmi eux Chantal Loïal, ambassadrice des danses afro-antillaises. "On a voulu mélanger les mémoires, celles du bal populaire, le 14 juillet avec tout ce que ça représente et aussi la mémoire d'une oeuvre culte de l'histoire de la danse", indique le chorégraphe à l'initiative de ce bal du 14 juillet.
Vingt-cinq danseurs amateurs franciliens
"Je suis passé par le Gwo Ka, le Bèlè... Ces danses sont issues de l'esclavage. Elles nous ont permis de nous libérer, de pouvoir nous exprimer à cette période-là et je trouvais qu'il y avait un vrai parallèle avec "Messe pour le temps présent" qui était autour de la liberté, de la jeunesse", précise Chantal Loïal qui a enseigné les danses afro-antillaises à 25 danseurs amateurs franciliens, plus habitués à pratiquer le modern'jazz, la danse classique ou le hip-hop.
Stars d'un soir ces artistes franciliens inviteront à la danse avec un grand bal dédié à Pierre Henry, le compositeur de "Messe pour le temps présent", mort le 6 juillet dernier à l'âge de 89 ans... Il devait donner le coup d'envoi de cette soirée.