Le mineur canadien Guyana Goldfields a annoncé la suspension de l'exploitation de son site minier d'Aurora, après une grève "inattendue" déclenchée par ses salariés. Au Guyana, avec le décollage de l'économie les revendications sociales prennent leur envol.
Dans un communiqué publié le 3 juillet, la compagnie minière Guyana Goldfields reconnait "qu'une partie de la main-d'œuvre a bloqué la livraison du minerai à l'usine aurifère", sans préciser quelles étaient les revendications. Le conflit porterait en réalité sur la fermeture envisagée d'une partie des activités de la mine d’or et sur une modification des conditions de travail. Aurora se trouve dans la région 7 du Guyana, une vaste zone aurifère au centre du pays.
La compagnie minière relativise
"Par mesure de sécurité", c'est ainsi que la société canadienne présente, via sa filiale, sa décision de suspendre temporairement ses activités jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée avec les travailleurs en grève. "Nous évacuons tout le personnel du site, y compris les travailleurs en grève" indique le communiqué. La direction de la société a déclaré qu'elle croyait "que l'arrêt était le résultat d'un malentendu concernant la gestion et les relations avec certains entrepreneurs miniers du site" qui est une mine d'or à ciel ouvert. La compagnie canadienne a examiné des options pour, dit-elle, "améliorer le rendement minier afin d'assurer l'avenir à long terme d'Aurora."
Délégation de grévistes
Aucune décision n'aurait encore été prise concernant l'exploitation aurifère et les conditions de travail sur la mine, mais le mouvement de grève semble bien indiquer le contraire. Guyana Goldfields Aurora déclare encore qu'elle "travaille activement avec ses employés et se conforme aux lois et règlements applicables. Nous facilitons la communication avec les autorités gouvernementales compétentes en matière de travail afin de comprendre les préoccupations des employés, d'y répondre et de résoudre le problème le plus rapidement possible."
Des délégués des grévistes d'Aurora devraient rencontrer les représentants du ministère du travail du Guyana afin de tenter de régler le différend avec leur employeur.
La compagnie minière relativise
"Par mesure de sécurité", c'est ainsi que la société canadienne présente, via sa filiale, sa décision de suspendre temporairement ses activités jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée avec les travailleurs en grève. "Nous évacuons tout le personnel du site, y compris les travailleurs en grève" indique le communiqué. La direction de la société a déclaré qu'elle croyait "que l'arrêt était le résultat d'un malentendu concernant la gestion et les relations avec certains entrepreneurs miniers du site" qui est une mine d'or à ciel ouvert. La compagnie canadienne a examiné des options pour, dit-elle, "améliorer le rendement minier afin d'assurer l'avenir à long terme d'Aurora."
Délégation de grévistes
Aucune décision n'aurait encore été prise concernant l'exploitation aurifère et les conditions de travail sur la mine, mais le mouvement de grève semble bien indiquer le contraire. Guyana Goldfields Aurora déclare encore qu'elle "travaille activement avec ses employés et se conforme aux lois et règlements applicables. Nous facilitons la communication avec les autorités gouvernementales compétentes en matière de travail afin de comprendre les préoccupations des employés, d'y répondre et de résoudre le problème le plus rapidement possible."
Des délégués des grévistes d'Aurora devraient rencontrer les représentants du ministère du travail du Guyana afin de tenter de régler le différend avec leur employeur.