Mardi 3 avril, la situation était encore confuse sur les barrages à Mayotte. Certaines routes ont été dégagées mais d'autres restent bloquées. Les grévistes peinent à se mettre d'accord sur la suite à donner au mouvement de lutte contre l'insécurité.
Au lendemain de l'annonce de la levée des barrages à Mayotte par l'intersyndicale et le Collectif des citoyens, les situations sont diverses sur l'île. Certains barrages ont bien été levés, comme à Chiconi, mais d'autres axes routiers sont toujours bloqués, à l'instar de la route de Tsrarano.
Des ouvriers ont commencé à déblayer les chemins, en évacuant notamment les arbres qui avaient été coupés et installés en travers des routes pour empêcher le passage des véhicules. Ces opérations devraient prendre plusieurs jours.
La situation est tendue entre les grévistes depuis hier. Certains manifestants refusent de lever les barrages en avançant que leurs principales revendications, contre l'insécurité et l'immigration illégale, n'ont pas encore trouvé de solution satisfaisante.
Des ouvriers ont commencé à déblayer les chemins, en évacuant notamment les arbres qui avaient été coupés et installés en travers des routes pour empêcher le passage des véhicules. Ces opérations devraient prendre plusieurs jours.
La situation est tendue entre les grévistes depuis hier. Certains manifestants refusent de lever les barrages en avançant que leurs principales revendications, contre l'insécurité et l'immigration illégale, n'ont pas encore trouvé de solution satisfaisante.