L’oursin blanc fait le bonheur des fins gourmets, mais également des pêcheurs habilités à le capturer dans les eaux chaudes de l’Atlantique.
On le mange en blaff, en « têt chadron », en tarte, en acras…. Les gonades se trouvant à l’intérieur des oursins blancs, sont très rares et ne peuvent se consommer frais, que quelques jours dans l’année.
Cet animal herbivore, de forme ronde, avec des piquants très courts, vit en général, là où se trouver des herbiers. Entre la surface de l’eau et jusqu’à 50 mètres de profondeurs. Si auparavant, sa capture n’était pas réglementée, depuis 1999, seuls les pêcheurs habilités, peuvent ramasser ce fameux hérisson de mer.
Des zones de pêches polluées par la chlordécone sont interdites aux Antilles. La durée de la campagne restreinte à une quinzaine de jours dans l’année. En 2018, seuls deux cents marins-pêcheurs ont été autorisés à prélever des fonds marins les oursins blancs en Martinique. Des mesures strictes pour préserver la ressource. Les contrevenants encourent jusqu’à 22 500 euros d’amendes.
Ces règles peuvent être modifiées d’une année sur l’autre, et selon le territoire. Les dispositions sont fixées par la préfecture après concertation avec le comité des pêches.
Cet animal herbivore, de forme ronde, avec des piquants très courts, vit en général, là où se trouver des herbiers. Entre la surface de l’eau et jusqu’à 50 mètres de profondeurs. Si auparavant, sa capture n’était pas réglementée, depuis 1999, seuls les pêcheurs habilités, peuvent ramasser ce fameux hérisson de mer.
Une pêche encadrée
Des règles strictes encadrent la pêche aux oursins blancs. Les marins-pêcheurs doivent avoir déclaré dans le passé des pêches aux oursins et être en possession d’un certificat médical attestant qu’ils sont aptes à plonger en apnée.Des zones de pêches polluées par la chlordécone sont interdites aux Antilles. La durée de la campagne restreinte à une quinzaine de jours dans l’année. En 2018, seuls deux cents marins-pêcheurs ont été autorisés à prélever des fonds marins les oursins blancs en Martinique. Des mesures strictes pour préserver la ressource. Les contrevenants encourent jusqu’à 22 500 euros d’amendes.
Ces règles peuvent être modifiées d’une année sur l’autre, et selon le territoire. Les dispositions sont fixées par la préfecture après concertation avec le comité des pêches.