WEB SERIE : Kannibal Hub, voyage dans le Tout Monde - Episodes 17 à 21

Louisa Marajo

Partez à la découverte des arts visuels contemporains des Caraïbes. Kannibal Hub, ce sont des portraits d'artistes émergents ou confirmés qui chacun à leur manière témoignent, surprennent, étonnent, provoquent et surtout donnent à voir et à réfléchir sur leurs places dans le Tout Monde.

Tsuna Club - Floro Bahbou

On suit l’artiste plasticien dans les rues de Fort de France. Son souhait est de reconstruire une identité caraïbe. Il se considère dans son geste artistique comme un artiviste plutôt que comme un activiste. Pour lui : « l’art va permettre une réappropriation des choses ».En Martinique, le collectif Tsuna Club, réinvente le concept du street-art et s’interroge sur le devenir de l’art de rue et le déboulonnage des statues . Tsuna Club, vandales ou artivistes ?

Instagram : bahboufloro

Facebook : bahboufloro

On suit l’artiste plasticien dans les rues de Fort de France. Son souhait est de reconstruire une identité caraïbe. Il se considère dans son geste artistique comme un artiviste plutôt que comme un activiste. Pour lui : « l’art va permettre une réappropriation des choses ».En Martinique, le collectif Tsuna Club, réinvente le concept du street-art et s’interroge sur le devenir de l’art de rue et le déboulonnage des statues . Tsuna Club, vandales ou artivistes ? Instagram : bahboufloro Facebook : bahboufloro

 

Le jardin de Médélice – Raymond Médélice

Perdu dans son atelier du Gros Morne en Martinique, l’artiste Raymond Médélice nous reçoit au milieu des fantômes de la colonisation, ectoplasmes vidéo, boites de désenvoutement, tableaux vibratoires, sont autant de visions artistiques qui témoignent pour l’artiste du conditionnement de la société caribéenne. 

 

Perdu dans son atelier du Gros Morne en Martinique, l’artiste Raymond Médélice nous reçoit au milieu des fantômes de la colonisation, ectoplasmes vidéo, boites de désenvoutement, tableaux vibratoires, sont autant de visions artistiques qui témoignent pour l’artiste du conditionnement de la société caribéenne.

 

Poussières d’Océan – Louisa Marajo

Des sargasses et de l’écume sur les plages de Martinique, des collages d’océan sur des palettes de chantiers en banlieue parisienne, des radeaux multicolores dans la mer des caraïbes, qui reviennent à Paris sous la forme de photos. Une mise en abîmes sans fin que nous propose la plasticienne Louisa Marajo. Pour elle, dans l’univers rien ne meure, tout se transforme. 

Instagram: louisa_marajo

Facebook : LOUISAMARAJOARTISTE

Site de l'artiste : http://louisamarajo.com

 

Des sargasses et de l’écume sur les plages de Martinique, des collages d’océan sur des palettes de chantiers en banlieue parisienne, des radeaux multicolores dans la mer des caraïbes, qui reviennent à Paris sous la forme de photos. Une mise en abîmes sans fin que nous propose la plasticienne Louisa Marajo. Pour elle, dans l’univers rien ne meure, tout se transforme. Instagram: louisa_marajo Facebook : LOUISAMARAJOARTISTE Site de l'artiste : http://louisamarajo.com

 

Petroglyphes en mouvement - Atadja Lewa

Le guadeloupéen Audrey Phibel est manager de projets culturels mais aussi performeur sous le nom de Atadja Lewa. Il est un artiste performer, il considère son corps comme une œuvre d’art et la Guadeloupe comme sa base de lancement pour conquérir le monde. Aux Antilles et Miami, il réinvente de nouveaux syncrétismes à l’image d’une société caribéenne en complète mutation.  Un voyage qui nous transporte jusqu’au première forme d’expression des indiens Arawak.

Le guadeloupéen Audrey Phibel est manager de projets culturels mais aussi performeur sous le nom de Atadja Lewa. Il est un artiste performer, il considère son corps comme une œuvre d’art et la Guadeloupe comme sa base de lancement pour conquérir le monde. Aux Antilles et Miami, il réinvente de nouveaux syncrétismes à l’image d’une société caribéenne en complète mutation. Un voyage qui nous transporte jusqu’au première forme d’expression des indiens Arawak.

 

Black Dolls - Mirtho Linguet

« Rendez-les-moi mes poupées noires qu’elles dissipent l’image des catins blêmes, Marchands d’amour qui s’en vont viennent, sur le boulevard de mon ennui ». Ces vers tirés d’un poème de Léon Gontran Damas ont fortement inspiré le travail du photographe Guyanais Myrtho Linguet, pour qui « les personnes dites non blanches » vivent encore aujourd’hui dans un état de subjugation intellectuelle dans ce qui reste de l’ancien empire post colonial. 

Facebook : mirtholinguetphotographe

Site de l'artiste : http://mirto.fr

« Rendez-les-moi mes poupées noires qu’elles dissipent l’image des catins blêmes, Marchands d’amour qui s’en vont viennent, sur le boulevard de mon ennui ». Ces vers tirés d’un poème de Léon Gontran Damas ont fortement inspiré le travail du photographe Guyanais Myrtho Linguet, pour qui « les personnes dites non blanches » vivent encore aujourd’hui dans un état de subjugation intellectuelle dans ce qui reste de l’ancien empire post colonial. Facebook : mirtholinguetphotographe Site de l'artiste : http://mirto.fr

 

Production : Eclectic / Corto & Co
Réalisation : Gérard Maximin
2020