Un conseil national de défense se déroulait ce matin à l'Elysée en présence de Victorin Lurel. Face aux restrictions budgétaires à venir, le ministre des Outre-mer est venu défendre la présence des armées dans les départements et collectivités ultramarines. Il s'est exprimé à la sortie de l'Elysée.
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- C'est la première fois qu'un ministre des Outre-mer participe à un conseil national de défense, l'enjeu est important pour les outre-mer?
- C'est très, très important. Vous connaissez l'étendue des territoires d'Outre-mer, notamment en zone économique exclusive. c'est 11 millions de kilomètres carrés. C'est la deuxième zone économique exclusive du monde après les Etats-Unis. Vous connaissez les nouveaux enjeux notamment dans le sud de l'océan indien, dans les territoires de l'antarctique, les Îles éparses, le Canal du Mozambique. Vous connaissez donc les enjeux. Vous connaissez aussi la nature des menaces et l'importance de la protection des populations. Donc des enjeux de souveraineté, des enjeux de protection civile. Les Outre-mer ont été fort bien pris en compte dans le livre blanc. On verra comment traduire tout cela dans la loi de programmation [militaire]. C'était absolument normal et légitime que le ministre des Outre-mer participe à ce conseil de défense.
- On évoque des menaces sur les régiments en Polynésie, en Guyane ou en Martinique?
- Cela a commencé dans le dernier livre blanc. On a perdu plusieurs bases militaires, plusieurs régiments et plusieurs brigades. On va tenter de stabiliser tout cela, voir de renforcer les moyens de défense, selon les enjeux et selon les territoires.
- Qu'est ce qui s'est dit pendant le conseil?
On a fixé les grandes orientations. Le prochain conseil national de défense aura lieu le 10 avril. On verra comment préparer cette loi de programmation militaire.
- C'est très, très important. Vous connaissez l'étendue des territoires d'Outre-mer, notamment en zone économique exclusive. c'est 11 millions de kilomètres carrés. C'est la deuxième zone économique exclusive du monde après les Etats-Unis. Vous connaissez les nouveaux enjeux notamment dans le sud de l'océan indien, dans les territoires de l'antarctique, les Îles éparses, le Canal du Mozambique. Vous connaissez donc les enjeux. Vous connaissez aussi la nature des menaces et l'importance de la protection des populations. Donc des enjeux de souveraineté, des enjeux de protection civile. Les Outre-mer ont été fort bien pris en compte dans le livre blanc. On verra comment traduire tout cela dans la loi de programmation [militaire]. C'était absolument normal et légitime que le ministre des Outre-mer participe à ce conseil de défense.
- On évoque des menaces sur les régiments en Polynésie, en Guyane ou en Martinique?
- Cela a commencé dans le dernier livre blanc. On a perdu plusieurs bases militaires, plusieurs régiments et plusieurs brigades. On va tenter de stabiliser tout cela, voir de renforcer les moyens de défense, selon les enjeux et selon les territoires.
- Qu'est ce qui s'est dit pendant le conseil?
On a fixé les grandes orientations. Le prochain conseil national de défense aura lieu le 10 avril. On verra comment préparer cette loi de programmation militaire.
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