En dominant l'Espagne 1-0, l'équipe de France débute idéalement sa préparation pour l'Euro 2016

Loïc Rémy, le héros du jour
Les Bleus n'ont pas tremblé, hier au Stade de France face à l'Espagne. Ils ont battu les ex-champions du monde 1-0, grâce à un but de Loïc Rémy ! Idéal pour aborder la phase de préparation pour l'Euro 2016 qui se jouera en France. 
Les Bleus peuvent être satisfaits : ils ont réussi à prendre le virage de l'après-Coupe du monde. Hier au Stade de France, ils ont dominé l'Espagne 1-0 grâce à un but marqué par le Martiniquais Loïc Rémy. Entré en jeu à la 58ème minute, Rémy a marqué à la 72ème, d'un tir limpide sur un centre de Mathieu Valbuena, son ex-coéquipier à l'Olympique de Marseille.
Loïc Rémy, qui joue désormais en club à Chelsea, est satisfait de sa prestation. Il l'a expliqué à l'issue de la rencontre à Alain Rosalie, de Radio Outre-mer 1ère.

Varane heureux également !

Raphaël Varane a également exprimé sa satisfaction à l'issue de cette victoire face à l'Espagne. Pour le joueur qui évolue au Real Madrid, cette victoire a évidemment une saveur particulière.
"C'est une belle soirée. C'est un sentiment forcément spécial, un grand plaisir, de battre l'Espagne qui est une grande nation. Même si nous sommes engagés dans une série de matches amicaux, il faut continuer sur cette voie. Il faut continuer avec le même état d'esprit qui nous a animés durant la Coupe du monde. Notre force est collective, nous faisons les efforts ensemble."











Varane a également tweeté une photo prise dans les vestiaires après la rencontre :

 






Et maintenant, un déplacement en Serbie

L'équipe de France va mettre le cap sur la Serbie, où elle disputera dimanche le premier match des qualifications pour l'Euro 2016. Les Bleus sont intégrés à un groupe de qualification, mais leurs résultats ne seront pas pris en compte puisqu'en tant que pays organisateur, la France est qualifiée d'office. 
Serbie-France, ce sera à vivre en direct audio sur la1ere.fr et sur l'ensemble des radios du réseau des 1ère, avec les commentaires d'Alain Rosalie et Martin Baumer.