Après l'accident d'ULM qui a fait deux morts hier dans les hauts de l'ouest de la Réunion, deux enquêteurs du BEA, le Bureau d'enquêtes et d'analyses de l'aviation civile, vont quitter Paris pour mener l'enquête sur place.
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Ce mardi 31 mars dans la journée, deux des 50 enquêteurs du BEA s’envoleront bien pour La Réunion. C'est une "procédure classique", confie un expert joint par la1ere.fr : à partir du moment où il y a mort d’homme, le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l'aviation civile se déplace. Et comme c’est le cas lorsqu’un accident se produit sur le territoire français, ce sont ces hommes qui dirigeront l’enquête.
Aucune date de retour n’est encore prévue, les enquêteurs resteront sur place le temps qu’il faudra, pas question de quitter les lieux du crash si des informations peuvent encore être récoltées, d’autant plus lorsque l’accident se produit loin de l’Hexagone.
Les deux enquêteurs du BEA auront plusieurs tâches : examen du site, de la manière dont le vol a été préparé. Le profil du pilote sera également examiné. L'objectif est de revenir de La Réunion avec un maximum d’informations pour rédiger des conclusions. Il faudra en revanche de longs mois avant qu’un rapport soit rendu. "Au moins six mois ou un an", reconnaît le BEA.
Aucune date de retour n’est encore prévue, les enquêteurs resteront sur place le temps qu’il faudra, pas question de quitter les lieux du crash si des informations peuvent encore être récoltées, d’autant plus lorsque l’accident se produit loin de l’Hexagone.
Les deux enquêteurs du BEA auront plusieurs tâches : examen du site, de la manière dont le vol a été préparé. Le profil du pilote sera également examiné. L'objectif est de revenir de La Réunion avec un maximum d’informations pour rédiger des conclusions. Il faudra en revanche de longs mois avant qu’un rapport soit rendu. "Au moins six mois ou un an", reconnaît le BEA.