A Delft en Hollande, l’ingénieur martiniquais Bruno Sainte-Rose planche sur le futur système qui captera les déchets plastiques en mer. Ce spécialiste de la mécanique des fluides a rejoint Boyan Slat, le jeune Hollandais à l’origine de cette aventure dénommée The Ocean Cleanup.
A Delft en Hollande, l’ingénieur martiniquais Bruno Sainte-Rose travaille sur le futur système qui captera les déchets plastiques en mer. Ce spécialiste de la mécanique des fluides a rejoint Boyan Slat, à l’origine de cette aventure dénommée The Ocean Cleanup. Ce jeune Hollandais a réussi le plus gros crowfunding pour une association à but non lucratif sur internet.
La1ère s'est rendue à Delft sur les pas de Bruno Sainte-Rose. Regardez ce reportage :
Une aventure nouvelle
Personne ne s’était lancé dans une telle aventure avant Boyan Slat. The Ocean Cleanup est un projet totalement nouveau. C’est d’ailleurs ce qui a séduit l’ingénieur martiniquais Bruno Sainte-Rose. En plus, le jeune Hollandais est un as de la communication. Il est demandé partout dans le monde pour faire des conférences, ce qui lui permet en partie de financer son projet, même si The Ocean Cleanup est principalement financé par des mécènes. Aux Pays-Bas, les premiers essais de ce système de nettoyage de déchets plastiques en mer ont débuté à l'Institut maritime néerlandais.La1ère s'est rendue à Delft sur les pas de Bruno Sainte-Rose. Regardez ce reportage :