Le premier tour de la Coupe Davis aura lieu du 4 au 6 mars 2016 en Guadeloupe. La décision été prise vendredi 4 décembre par la Fédération française de tennis (FFT). La Guadeloupe était en compétition notamment avec la Martinique pour accueillir l’évènement en mars prochain.
Le premier tour de la Coupe Davis qui se déroulera les 4,5 et 6 mars prochains entre la France et le Canada aura lieu au vélodrome de Baie-Mahault en Guadeloupe). La décision été prise ce vendredi 4 décembre par le bureau fédéral de la Fédération française de tennis (FFT). Il s’agit d’une grande première pour les Outre-mer.
Quatre villes était en compétition pour accueillir l’événement : Baie-Mahault (Guadeloupe), Fort-de-France (Martinique), Rouen (Seine-Maritime) et Albertville (Savoie). Depuis le début des discussions, les Antilles faisaient figure de favorites pour organiser ce premier tour de la coupe Davis qui opposera la France au Canada, du 4 au 6 mars 2016.
Pour Yannick Noah, le but est de limiter l'impact du grand serveur Raonic, 14e mondial, et de son acolyte Vasek Pospisil (39e), peu à l'aise sur cette surface. A cette époque de l'année, impossible de trouver pareilles conditions en métropole.
Baie-Mahault a été la plus prompte à répondre à l'appel se plaçant alors en position de favorite. Mais la candidature de dernière minute de Fort-de-France a relancé le suspense. C’est finalement la Guadeloupe qui a été choisie. Le président de la fédération française de Tennis a expliqué que la Guadeloupe avait été préférée à la Martinique notamment car elle avait fait acte de candidature en premier.
Les émissaires de la FFT ont visité durant la semaine les installations aux Antilles : le vélodrome Amédée-Détraux (9000 places) à Baie-Mahault et le stade Pierre-Aliker (16.000 places) à Fort-de-France.
Quatre villes était en compétition pour accueillir l’événement : Baie-Mahault (Guadeloupe), Fort-de-France (Martinique), Rouen (Seine-Maritime) et Albertville (Savoie). Depuis le début des discussions, les Antilles faisaient figure de favorites pour organiser ce premier tour de la coupe Davis qui opposera la France au Canada, du 4 au 6 mars 2016.
Le forcing de Yannick Noah
Le capitaine de l'Equipe de France de tennis, Yannick Noah, souhaitait que ce premier tour se déroule aux Antilles. Le lauréat de Roland-Garros 1983 a fait le forcing avec le soutien des joueurs pour que la rencontre se déroule sur terre battue et en extérieur.Pour Yannick Noah, le but est de limiter l'impact du grand serveur Raonic, 14e mondial, et de son acolyte Vasek Pospisil (39e), peu à l'aise sur cette surface. A cette époque de l'année, impossible de trouver pareilles conditions en métropole.
Les candidatures tardives de la Guadeloupe et la Martinique
A l'origine, aucune ville des DOM n'avait postulé car la FFT n'avait sollicité que des ligues de tennis métropolitaines. Sous la pression de Yannick Noah, elle a revu sa copie, décalant ainsi sa décision au 4 décembre pour laisser le temps à une ville antillaise de présenter un dossier.Baie-Mahault a été la plus prompte à répondre à l'appel se plaçant alors en position de favorite. Mais la candidature de dernière minute de Fort-de-France a relancé le suspense. C’est finalement la Guadeloupe qui a été choisie. Le président de la fédération française de Tennis a expliqué que la Guadeloupe avait été préférée à la Martinique notamment car elle avait fait acte de candidature en premier.
Surcoût d’un million d’euros
Ce match en Guadeloupe induit un surcoût prévisionnel de l'ordre d'un million d'euros (500.000 pour l'aménagement du stade et autant pour acheminer la terre battue). La FFT se dit prête à l'assumer en comptant sur des aides des collectivités locales.Les émissaires de la FFT ont visité durant la semaine les installations aux Antilles : le vélodrome Amédée-Détraux (9000 places) à Baie-Mahault et le stade Pierre-Aliker (16.000 places) à Fort-de-France.