En août 2005 le destin d'Anne-Marie bascule. L'avion qui l'amène en vacances au Canada s'écrase à Toronto. Blessée, elle en réchappe et réussit à donner un autre sens à sa vie.
" Imaginez-vous être un crayon dans une boîte de crayons fermée, et cette boîte est secouée dans tous les sens, vous êtes l'un des crayons " c'est la métaphore qu'utilise Anne-Marie pour donner une idée de ce qu'elle a vécu ce jour-là dans l'avion qui s'est écrasé à l'aéroport de Toronto. Elle s'en sort avec des vertèbres cassées et des maux de dos interminables. Elle porte un corset et entame une longue période de rééducation. Elle réapprend à marcher progressivement : " C'est une épreuve de vie qui est extrêmement douloureuse ".
Mais la Guadeloupéenne a de la ressource, " Tout m'a fortifié de l'intérieur. Tout m'a donné à être ce que je suis aujourd'hui, à aller au bout de mes rêves ". Enfant déjà elle se voyait faire de la couture, dessiner des modèles. Elle décide alors d'oublier son travail de cadre supérieure de pôle pour deux hopitaux parisiens et va s'installer en Bretagne. Elle ouvre boutique à Quimper. Ses robes se vendent bien pendant six mois jusqu'au jour où elle subit une agression raciste dans son magasin. Elle le ferme et travaille à domicile avec en prime le titre de créatrice de Bretagne pour habiller l'élue de la région dans sa quête du titre de miss France, " J'ai réalisé cette robe qui est au musée breton à Quimper ".
Anne-Marie a surmonté cette épreuve de l'accident d'avion, " Il faut transformer ses douleurs en art ". Elle est consciente qu'il est arrivé à point nommé dans sa vie pour lui permettre de se trouver enfin.
Mais la Guadeloupéenne a de la ressource, " Tout m'a fortifié de l'intérieur. Tout m'a donné à être ce que je suis aujourd'hui, à aller au bout de mes rêves ". Enfant déjà elle se voyait faire de la couture, dessiner des modèles. Elle décide alors d'oublier son travail de cadre supérieure de pôle pour deux hopitaux parisiens et va s'installer en Bretagne. Elle ouvre boutique à Quimper. Ses robes se vendent bien pendant six mois jusqu'au jour où elle subit une agression raciste dans son magasin. Elle le ferme et travaille à domicile avec en prime le titre de créatrice de Bretagne pour habiller l'élue de la région dans sa quête du titre de miss France, " J'ai réalisé cette robe qui est au musée breton à Quimper ".
Anne-Marie a surmonté cette épreuve de l'accident d'avion, " Il faut transformer ses douleurs en art ". Elle est consciente qu'il est arrivé à point nommé dans sa vie pour lui permettre de se trouver enfin.
En août 2005 le destin d'Anne-Marie bascule. L'avion qui l'amène en vacances au Canada s'écrase à Toronto. Blessée, elle en réchappe et réussit à donner un autre sens à sa vie.